Test Sony NEX-VG20E
le successeur du NEX-VG10
23 septembre 2011 par Thierry Philippon - Mis à jour le 24 février 2013
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Sony NEX-VG20E
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Prix fabricant : 2200 Euros |
Le Sony NEX-VG20E vient prendre la succession du NEX-VG10E qui a déjà fait couler beaucoup d'encre en raison de sa capacité à faire ressortir un sujet et à flouter l'arrière-plan. Les commentaires se sont exprimés autant en positif (l'originalité de son concept, la qualité du rendu) qu'en négatif (un cumul de petits et gros défauts). |
Le NEX-VG20 pourrait bien balayer les critiques car il joue sur deux tableaux gagnants. D'une part, le NEX-VG20 conserve les atouts du VG10 : on retrouve donc le concept de monture E avec compatibilité monture A, le gros capteur CMOS APS-C Exmor (cible identique de 23,5 x 15,6 mm, mais dont la résolution grimpe de 14 à 16 Mp), la poignée, le viseur confortable et de haute qualité à 1,15 Mp, les débrayages manuels, le stabilisateur remarquable, le semi-grand-angle 32 mm en vidéo, les 2 griffes, la batterie "longue durée", les prises casque et micro... D'autre part, le NEX-VG20E comble aussi les manques. Pour preuve. Pas d'écran tactile sur le VG10 ? C'est rétabli. Pas de mode Progressif ? On en ajoute deux (50p et 25p) sur le VG20. Pas d'enregistrement manuel du son ni de 5.1 ? C'est intégré. Pas de mode Miroir ni de mode SD en mpeg-2 ni de prise composite ? Ajoutés... Un seul bouton d'enregistrement ? On en intègre un second. Modèle trop vidéo, pas assez photo ? Le VG20 s'enorgueillit d'un mode Raw (ou Raw+Jpeg). Du jeu dans l'objectif 18-200 mm ayant pour effet de déconnecter la liaison objectif-boîtier quand on penche le camescope à droite ? Corrigé ! |
La gamme des objectifs à monture E s'est par ailleurs élargie, elle grimpe à 7 objectifs actuellement. On trouve notamment, outre le 18-200 mm du kit, l'objectif 18-55 mm f/3,5-56 mm (300 euros), le 30 mm f/3,5 (270 euros), ou encore le fish-eye 16 mm f/2,8 (249 euros). On attend aussi un 50 mm f/1,8 (Prix : NC), un 24 mm f/1,8 (prix : NC) et un 55-210 mm f/4,5-6,3 (prix : NC). De plus, le fabricant partage désormais avec d'autres fabricants d’objectifs et d’adaptateurs, les spécifications de base de sa monture E. Les utilisateurs du NEX-VG20 peuvent ainsi utiliser des objectifs interchangeables fabriqués aussi bien par Sony que par d’autres fabricants. Des accords ont été conclus avec Carl Zeiss, Cosina, Sigma, Tamron... Ajoutez la faculté de fixer des objectifs à monture A (moyennant adaptateur Sony LA-EA2) permettant d'exploiter les objectifs de la gamme Alpha (Minolta, Sony ou Carl Zeiss). Soit au bas mot 27 objectifs chez Sony et une douzaine d'objectifs Minolta ! Et on ne perd plus le bénéfice de l'Autofocus, même avec les objectifs à monture A. Avec objectif 18-200 mm (11x), le NEX-VG20EH est proposé à 2200 euros, mais une version "nue" (NEX-VG20E) est disponible pour 1800 euros. Mais que donne ce nouveau modèle sur le terrain ? Notre vidéo parlera probablement d'elle-même. En attendant, voici nos impressions "papier" axées essentiellement sur les caractéristiques du nouveau modèle. Pour plus de détails sur les points communs aux VG10 et VG20, on pourra se référer au test complet du VG10. |
Le test du NEX-VG20
Cette première prise en main du NEX-VG20E a été réalisée sur 4 jours, sans notice (à l'époque) ni appui technique, rançon de l'avantage à pouvoir tester ce modèle bien avant qu'il ne soit commercialisé. Il faut noter qu'un message d'avertissement (non élucidé à ce jour) nous a (un peu) pénalisé dans le maniement et que le VG20 ayant de nombreuses possibilités de débrayages manuels, l'absence de notice s'est faite sentir pour certains réglages.
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Le NEX-VG10 se caractérisait par trois modes d'enregistrement en AVCHD (dont le 24 Mbit/s) mais aucun mode Progressif. Inutile de dire que l'ajout du 25p et surtout du 50p à 28 Mbit/s (officialisé par la norme "AVCHD 2.0"), était une amélioration attendue. Ajoutez le MPEG-2 en SD pour une compatibilité directe avec les DVD de salon si besoin. Le VG20 dispose aussi d'un mode Cinema qui m'a assez peu convaincu en revanche en raison de son aspect artificiel (dominante rougeâtre). Au montage, rappelons que le 1080 / 50p n'est pas sans conséquence sur la sollicitation du processeur d'un ordinateur. Vous pouvez constater des saccades, voire des arrêts sur images intempestifs à la simple lecture d'un fichier 1080 / 50p. Il vaudra mieux dans ce cas se "contenter" du 25p, déjà très bon ou convertir vos fichiers 50p en 25p, ce que font aujourd'hui la plupart des softs de conversion en 50p. Vous y serez parfois contraint d'ailleurs si votre logiciel n'accepte pas le 1080 / 50p. |
Les images progressives du NEX-VG20 sont vraiment intéressantes pour une plus grande fluidité, des "gels" d'images ou des Ralentis sans compter que le Progressif convient mieux aux écrans actuels ou à la diffusion sur le Web. Ajoutez le grand capteur CMOS HD Exmor APS de 23,5 x 15,6 mm, 19,5 fois (!) plus grand qu'un capteur classique de camescope, et vous obtenez une image indiscutablement très "photo" et valorisante. L'optique parachève le résultat. Il ressort de ce beau capteur et de l'ajout d'une optique photo, des images sans commune mesure avec celles qu'on obtient avec un camescope grand-public à petit capteur (les classiques 1/3 de pouce par exemple) et objectif "vidéo". |
Nous avons vérifié le rendu des images à l'occasion d'un long tournage dans un Parc animalier. Nous n'avons eu à disposition "que" le 18-200 mm du kit mais il s'est avéré très pratique au final pour une thématique animalière. Le résultat est assez bluffant en combinant à la fois le mode Progressif (50p comme 25p), la qualité de l'optique photo, et la capacité de jouer avec la profondeur de champ. Les arrières-plans se détachent nettement au maxi du zoom avec un effet Bokeh souvent probant. De plus, l'image est détaillée et contrastée, à condition de surveiller l'automatisme de l'iris qui peut avoir tendance à surexposer légèrement. L'absence de filtre neutre pourra gêner les plus pros mais le zébra (70 et 100 %) permet de contrôler partiellement le rendu. |
L'écran tactile de 3 pouces (7,5 cm) et 921 Kp, est une autre caractéristique marquante du VG20 (bizarrement, le VG10 n'en était pas doté). Quoiqu'on en pense, le tactile est logique, tous les modèles Sony ayant opté pour cette technologie. On navigue plus facilement dans le Menu avec cette interface directe et surtout, on visionne ses images avec plus de souplesse. Imaginerait-on un iPhone non-tactile aujourd'hui ? Le tactile a toutefois ses détracteurs, principalement en raison des tâche de doigts ou de sueur qui peuvent venir gêner la vision. Personnellement, cela ne m'a jamais gêné. Aucun bouton - mais c'était déjà le cas avec l'écran du VG10 pourtant non-tactile - ne vient parasiter l'environnement de l'écran. Malgré sa technologie Xtra Fine TruBlack, l'écran n'est pas lisible en plein soleil. Je l'ai sollicité de temps en temps pour réaliser une mise au point centrée qui permet d'ajuster la mise au point en touchant directement la zone de son choix sur l'écran. L'écran adopte - enfin ! - le mode Miroir, à savoir la faculté de l'image de se remettre dans le bon sens quand on plaque l'écran sur le boîtier ou lorsqu'on souhaite filmer en autoscopie. Comme sur le NEX-VG10, si on ouvre l'écran, le viseur s'éteint et vice versa. Mais on peut forcer l'allumage du viseur, même écran ouvert, en appuyant sur le bouton Finder / LCD. Seule restriction, il est impossible d'afficher écran et viseur simultanément. Dommage bien sûr. |
Sur ce modèle, on aura tout intérêt à solliciter l'excellent viseur. Je me suis surpris moi-même à utiliser le viseur pour environ 80% des prises de vues alors que sur un camescope traditionnel, je ne l'exploite qu'à concurrence de 10% environ. Il faut rappeler que le viseur est large (0,43 pouces, soit plus de 1 cm), relevable, avec un oeilleton confortable, et surtout une résolution remarquable de 1.152.000 points. Le viseur bénéficie d'un réglage de la luminosité (2 positions seulement) + ajustement dioptrique. |
Autre nouveauté du NEX-VG20, le réglage du niveau d'enregistrement audio. Cette fonctionnalité manque désespérément aux modèles Sony hauts de gamme (type CX700) et le fabricant n'avait pas jugé utile d'intégrer ce réglage sur son NEX-VG10 qui disposait pourtant d'une sortie casque. Incohérence rectifiée... Le NEX-VG20 s'améliore sur ce plan, sans doute poussé à l'excellence par la concurrence des DSLR qui cumulent de grandes qualités ! L'audio du VG20 est donc débrayable. Ajoutez les prises casque et micro, déjà présentes sur le NEX-VG10. Autre bonne nouvelle, l'adoption d'un enregistrement Surround 5.1 qui vient compléter l'audio 2 voies existant du VG10. On retrouve aussi les quatre capsules qui forment un angle de 45 degrés pour offrir une direction avant et une séparation audio la plus efficace possible. On dispose donc d'un cahier de charges audio conforme à ce qu'on peut espérer de mieux d'un modèle grand-public. Les niveaux audio s'affichent sur écran / viseur. Étrangement, le niveau par défaut est très au-dessus du niveau médian (comme le montre la capture ci-dessus). Mais on ne note aucune saturation. Côté stabilisateur, celui-ci conserve son principe "Active" déjà rencontré sur le prédécesseur. La stabilité est globalement bonne avec un appareil du poids du VG20. La batterie est toujours aussi encastrée, à tel point qu'il n'est pas si évident de l'insérer et de l'extraire du logement. Celle du NEX-VG20 - la NP-FV70 (1960 mAh) - dure 95 à 105 minutes, ce qui est assez confortable, et la batterie optionnelle Sony NP-FV100 (3900 mAh) permet d'atteindre 190 à 210 minutes, soit un peu plus de 3 heures, c'est bien plus confortable, voire indispensable pour des petites expéditions ! Autre bonne nouvelle, la charge de la batterie prend nettement moins de temps que sur le NEX-VG10 même si cela pourra vous sembler toujours un peu élevé : 195 minutes (3H15) avec la batterie fournie et 390 minutes (6H30) avec la NP-FV100. Mauvais point en revanche pour le chargeur fourni : il est intégré puisqu'on ne dispose que de l'adaptateur secteur (un modèle séparé existe en option sous la référence Sony BC-TRP). |
Deux pour le prix d'une ! Ainsi pourrait-on résumer la surprise qui se cache derrière la trappe supérieure de la poignée. En effet, Sony a choisi de proposer deux griffes, la première de type Active permettant de communiquer avec un accessoire... Sony, alors que la seconde, de type Passive, autorise la fixation de tout accessoire non Sony. Comme on pouvait l'escompter, le NEX-VG20 profite de son concept photo et du grand capteur pour proposer des réglages manuels dignes de ce nom. On peut véritablement s'amuser avec le flou-net et détacher un sujet de l'arrière-plan, ou même effectuer un rack Focus (passer du flou au net entre l'avant-plan et l'arrière-plan). Plus vous bénéficiez d'une belle lumière comme ce fut notre cas, plus il vous est aisé de jouer avec la profondeur de champ, sans que l'image ne s'assombrisse. Quel que soit le mode choisi, on peut préférer rester en Autofocus ou appeler le point manuel. Si l'AF n'est pas déjà enclenché, il suffit de presser une minuscule pastille "Focus". Trop minuscule d'ailleurs, dans l'urgence, on la manipule mal car son positionnement, en bas du camescope, est peu accessible, surtout sur trépied. Elle a d'ailleurs migré, car elle se situait auparavant derrière l'écran (quand on visait au viseur, écran fermé, on ne pouvait manipuler cette touche) ! Autre solution, solliciter l'Autofocus, remarquable mais inconstant. J'ai béni son efficacité sur un petit suricate (voir notre vidéo) capté au téléobjectif et qui s'est déplacé de 10 mètres : l'AF n'a pas perdu le nord alors que la situation était délicate. Mais sur d'autres types de sujets, immobiles comme la texture d'un zèbre : l'AF n'a jamais réussi à faire le point ! La notice donne la solution : en cas d'AF hésitant, il suffit de presser le bouton Photo jusqu'à mi-course pour améliorer l'AF. Mais dans ce cas, il a besoin de passer par le franchement flou pour rétablir le franchement net ! |
La bague de mise au point (du 18-200 mm) est agréable mais toujours aussi piégeante. Pourtant, je n'ai lu cette critique nulle part. Explication : par un réflexe photo naturel, on s'attend à régler le point avec la grosse bague située à l'extrémité de l'objectif alors qu'en réalité, elle se situe en retrait. Il faut se déshabituer de ses réflexes photo et ce n'est pas toujours simple. Pour ma part, au bout de 10 heures d'utilisation du NEX-VG20, je commençais à peine à m'habituer à régler le point avec la bague la plus proche de la monture. Hormis cela, la rotation de la bague de mise au point est très progressive et permet d'obtenir une haute précision de mise au point (au viseur impérativement !), bien qu'elle soit de type "sans fin" et sans repères de distance sur la bague. Une légère approximation de mise au point est vite arrivée. C'est pourquoi j'ai utilisé pour ma part deux aides à la mise au point, qui, cumulées, permettent d'obtenir un point précis. D'une part, l'intensification qui affiche un liséré de couleur (rouge, jaune ou blanc) sur le sujet net. D'autre part - nouveauté du VG20 - l'Expand Focus qui permet d'obtenir un agrandissement x2 du centre de la vue, même en cours d'enregistrement. Inconvénient toutefois : il fait désactiver l'Expand Focus pour qu'il disparaisse de l'écran. A noter l'apparition du Détecteur de visages qui peut s'avérer précieux. |
Un bouton Manual fait son apparition sur le flanc gauche à l'avant, accouplé à la molette de sélection qui était antérieurement masquée derrière l'écran. Même remarque que pour le bouton Focus, la préhension n'est pas toujours facile dans l'urgence avec des doigts "normaux". On accède par ce biais aux réglages autres que le Focus (Régl. Expo auto, Iris, exposition, Gain, Vitesse d'obturateur, Réglage bal. des blancs). Les réglages restent mémorisés, c'est bien appréciable, même après extinction du camescope. Sony a aussi donné accès à la fonction PROGRAM AE qui affiche un message que nous avons mis du temps à décrypter. Quand vous actionnez cette touche, les valeurs manuelles d'Iris, de vitesse et de Gain passent en Auto. La touche permet donc de parer au plus pressé en évitant de régler chaque réglage individuellement. Cette touche s'avère bien utile au final... |
La principale singularité du NEX-VG20 pour un camescope est l'absence de zoom électrique. Priver l'utilisateur de zoom n'est pas incohérent à l'heure du succès rencontré par les DSLR qui en sont dépourvus. Les photographes intéressés par ce modèle retrouvent ainsi les repères qu'ils connaissent en photo. On peut néanmoins zoomer avec la bague : avec un certain doigté, on finit par réussir des zooms partiels avec le 18-200 du kit. Un zoom de ce type illustre plusieurs scènes de notre vidéo. Revers de la médaille : le bruit de l'objectif se fait entendre à moins, comme dans notre premier exemple, de choisir un environnement sonore masquant (le TGV). Néanmoins, le zoom peut aussi être considéré comme un langage et Sony se ferme probablement la porte de nombreux amateurs déçus qu'un camescope de 2200 euros soit privé d'une commande aussi "vidéo". Côté focales, le 18-200 mm (multipliez par 1,8 pour obtenir l'équivalent 24x36), procure un confort assez appréciable puisqu'il produit à la fois un grand-angle confortable (environ 32,4 mm en vidéo, 27 mm en mode Photo) et un téléobjectif puissant de 360 mm. |
L'appareil est toujours aussi agréable à transporter d'un endroit à un autre grâce à sa poignée bien préhensible. Cette dernière s'avère pratique pour réaliser des prises de vues caméra au ras du sol. En voyage, rien n'empêche de retirer l'objectif. Ainsi l'encombrement du camescope sera moins imposant. Côté maniement, le pouce tombe toujours aussi bien au niveau du déclencheur et la pression sur les boutons, peu nombreux, est assez facile (hormis le Focus). Un second beaucoup d'enregistrement, très réclamé, fait son apparition à droite de la poignée. Je l'ai beaucoup utilisé. Ajoutez même une 3e commande start / stop sur écran. La sensibilité minimale tombe à 9 lux à une vitesse d'obturation de 1/25 et une ouverture de f/3,5. C'est un peu mieux que le VG10 (11 lux). Toutefois, je n'ai pas constaté de différence "sensible" avec le VG10. Seule certitude, un modèle comme le HXR-NX70 est plus sensible. La courte durée du prêt m'a empêché d'approfondir. La touche Gain (manuel) a disparu mais pas la fonction qui reste facile à régler. On peut moduler le Gain par palier de 3 dB, entre 0 dB à +27 dB. En Gain Auto, la limite du "fourmillement" est vite dépassée. Pas de torche ni de Nightshot. Je vous conseille toujours d'investir par exemple dans la mini-torche Sony HVL-10NH (une centaine d'euros) de puissance 10 watts et d'un poids de 64,5 grammes. Cette mini-torche est fournie avec un adaptateur pour griffe de 22 cm de longueur. Si la mini-lampe Sony ne vous convient pas, la seconde griffe du NEX-VG20 vous permet d'adapter toute autre lampe non Sony. |
La connectique est cette fois complète : prises micro et casque, mini-HDMI, USB 2.0 mais aussi (le VG10 en était privé) la fameuse sortie AV / composantes... Seul le câble mini-HDMI n'est pas fourni. Il ne manque véritablement qu'une prise Lanc finalement. |
Côté Lecture des images, on y accède via la pastille cerclée affichant le symbole Lecture ou via l'écran désormais. On peut afficher les données d'enregistrement de chaque vue si on a pris soin de valider l'option correspondante. Très pratique pour l'utilisateur qui veut comprendre ses réglages et progresser...
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