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Prix fabricant : 279 Euros
Prix fabricant : 309 Euros
La DJI Osmo Nano est une caméra d’action - une de plus chez DJI - assez différente des caméras d'action classiques récentes de la marque car celle-ci se compose de deux éléments. Son concept repose sur une caméra indépendante (capteur + optique + batterie interne + enregistreur) couplée ou non avec une station multifonction ou son smartphone.
Autonome, étanche (la caméra), pas très chère (279 euros en 64 Go), la caméra de DJI permet de capturer des vues en position "mains libres" ou être fixée sur des supports variés, parfois surprenants : des chapeaux (!), des casquettes, des bandeaux, des sangles, autour de la tête (avec un serre-tête), ou encore sur un collier pour animaux de compagnie...
La caméra peut aussi se fixer sur tout objet métallique : sa face arrière (là où est marqué "Nano") est en effet totalement plane et aimantée, tout comme sa face inférieure pour se raccorder à la station optique multifonctionnelle.
La caméra en elle-même comporte un seul bouton pour l'enregistrement, et pas d'écran. Elle est magnétique (dos et dessous).
Elle évoque un peu ce qu'avait lancé la marque avec son Action 2, tout en s'inspirant de très près de ce que propose aujourd'hui Insta360 (Go 3S), mais cette dernière est bien plus chère (429 euros) contre 279 euros / 309 euros pour la DJI, rendant cette dernière très attractive.
Les avantages de l'Osmo Nano ? D'abord une grande compacité / légèreté (57 mm × 29 mm × 28 mm pour 52 grammes), doublée d'une conception magnétique.
Côté technique, le capteur totalise 35 Mpx, en formant ses images sur une cible forcément petite de 1/1,3″, vu la taille de l'engin. Toutefois, on a déjà connu une cible 1/3"" chez DJI avec les Mini 3 et Mini 4 pro. Le capteur s'associe à un processeur annoncé comme "très optimisé" puisqu'il offre une plage dynamique de 13,5 stops, ce qui est plutôt correct. La Nano dispose aussi d'un mode SuperNight, comme les autres Actioncam de la marque.
La caméra enregistre en vidéo mais ne renie pas la photo avec des clichés possibles en 35 Mpx en JPEG ou JPEG / RAW, et même un mode Rafale jusqu'à 3 im/s et un retardateur de 10 secondes. On retrouve aussi les modes Timelapse et Hyperlapse, comme sur toutes les Osmo.
La caméra bénéficie d'un étui de protection (fourni). Il permet de protéger la caméra mais aussi de se prémunir de la chaleur de la caméra, si celle-ci devenait aiguë.
Caméra seule et station optique multifonction
Important à comprendre : on peut enregistrer en autonomie totale depuis la caméra seule, "en aveugle" ou pas, grâce au stockage interne de la caméra et à sa batterie interne. Filmer avec la caméra seule peut avoir de multiples intérêts, en termes de réactivité et de discrétion, mais aussi et surtout dès que la légèreté est un facteur déterminant : par exemple si on la place sur un serre-tête (comme celui que propose DJI en option) ou encore sur une casquette (accessoire fourni) ou encore si on la suspend au collier d'un chien.
Par contre, il n'existe aucun paramétrage possible, aucun choix de mode, aucun écran, et pas même de port USB-C. Pour transférer et relire les images, il faut donc nécessairement fixer physiquement la caméra à la station optique multifonctionnelle (voir plus loin).
C'est une caméra Run and Gun, c'est à dire qu'il suffit d'appuyer une fois sur le bouton Enregistrement (=1 bip bref) qui allume la caméra et enregistre en même temps. Puis de rappuyer sur ce même bouton (= 2 bips brefs) pour arrêter l'enregistrement et l'éteindre.
Le stockage des fichiers s'accomplit en interne dans la caméra en bénéficiant d'un espace de 64 Go (réel = 48 Go) ou 128 Go (réel = 107,6 Go), selon le modèle (30 euros d'écart).
Je disais que la caméra possédait son propre bouton d'enregistrement sur le dessus, mais à défaut de pouvoir l'atteindre, on peut faire appel à la reconnaissance vocale pour lancer / arrêter l'enregistrement ou même par reconnaissance gestuelle (hochement de tête ou en tapotant).
Côté monitoring, les vues de la caméra peuvent être contrôlées :
-soit avec l'application gratuite DJI Mimo, moyennant un simple smartphone. Application qui gère aussi les réglages ou les Préférences (nombreuses) de la caméra.
-soit avec la station optique multifonctionnelle (incluse) qui pèse 72 grammes, donc un peu plus lourd que la caméra qui n'en pèse que 52 grammes. Cette station sert d’écran, de déclencheur à distance, de station de recharge et de station de transfert de fichiers à haute vitesse. Le station peut aussi être détaché de la caméra, à la façon d'un smartphone de contrôle, la communication s'établissant par WiFi 6 / Bluetooth jusqu'à 10 mètres de distance, chiffre de DJI que j'ai pu confirmer par un essai sur le terrain.
A noter que DJI emploie le terme de "station optique" pour désigner le module, j'avoue ne pas comprendre cette traduction qui peut induire en erreur.
La connexion entre la caméra et la station optique s'établit ultra vite et sans problème, dès lors que votre Osmo a été activée au départ. Soit c'est l'habitude des produits DJI qui facilite les choses (j'en ai testé plusieurs depuis 4 ans), soit DJI a amélioré la rapidité de la connexion.
La station est aussi conçue pour constituer un bloc compact avec la caméra. La station se fixe alors par contact magnétique et tient remarquablement bien, je n'ai jamais subi "d'accident", tellement l'aimantation est forte. On peut ainsi filmer avec le bloc entier qui pèse environ 125 grammes et qui reste plus petit qu'une Action 5, c'est dire.... On bénéficie ainsi d'une autonomie plus grande, en termes de batterie et surtout, de la visualisation immédiate sur écran, un peu comme si on avait une Osmo Action dans les mains.
On bénéficie alors de tous les accès directs aux réglages de la caméra, via l'écran de la station. Notez que l'affichage sur l'écran de la station s'adapte au sens horizontal ou vertical dans lequel la caméra est orientée ! Et côté pratique, la caméra s'aimante sur la station dans les deux sens.
Un bémol tout de même : une latence non négligeable existe entre l'image capturée et celle affichée, que les deux éléments (caméra et station) soient désolidarisés ou non, Considérez que ce décalage est normal et peu exagéré. Et que la visualisation sur écran est surtout destinée à contrôler le cadre, peu importe qu'il y ait une petite latence.
Sachez aussi que l'écran tactile de la station multifonctionnelle repose sur une dalle OLED HD de 1,96 pouces (env. 5 cm), de définition modeste en 314 × 556 pixels (174.584 pixels). La définition modeste peut s'expliquer par la volonté de DJI de ne pas nuire à l'autonomie batterie.
Connectée, la station optique a aussi un sacré intérêt en ce qui concerne la recharge de la batterie de la caméra (530 mAh) en 20 minutes seulement (!) et atteindre ainsi un niveau proche de 80 %. Je me suis ainsi retrouvé à 0% de batterie côté caméra alors que j'avais encore des plans à filmer. J'ai simplement connecté à la caméra la station optique que je n'utilisais pas à ce moment-là, et celui-ci a rechargé automatiquement la caméra de 25% en quelques minutes, ce qui m'a suffi à terminer mes plans. Bien sûr, cette "astuce" a une fin puisque selon le principe des vases communicants, la station se décharge en proportion qu'il recharge la caméra, et tant qu'il n'est pas lui-même rechargé, il se videra. A noter que lorsque vous rechargez la station, lui même emboîté avec la caméra, les deux se rechargent simultanément.
L'autonomie de la caméra seule est annoncée pour 90 minutes (en continu) en Full HD 24p, et de 50 minutes (en continu...) en 4K 60p avec le mode "Endurance" activé qui ajoute 10 minutes de plus que si l'on désactive ce mode. Pour ma part, sans le mode Endurance, j'ai vérifié et atteint 53 minutes d'enregistrement continu en 4K/60, ce qui correspond plus ou moins aux chiffres annoncés par DJI.
D'après DJI, l'autonomie culmine même à 200 minutes en 1080p/24 ips avec la station optique qui dispose d'une batterie plus capacitaire de 1300 mAh. En réel, comptez comme un maximum les 50 minutes en 4K/50/60p de la caméra seule Mais lorsqu'elle est fixée sur la station optique, du fait que ce dernier alimente la caméra, l'autonomie peut augmenter beaucoup tant que le station a encore de l'énergie.
On visualise l'autonomie de façon très pratique dès la fixation de la caméra sur la station. L'autonomie de la caméra s'affiche de façon distincte de celle de la station afin de toujours savoir quelle est la charge résiduelle respective des deux appareils.
Enfin sachez que l'on peut utiliser l'Osmo Nano pendant la recharge.
La station optique comporte un unique bouton d'enregistrement, des aimants supérieur, inférieur et arrière, et une trappe qui contient un connecteur USB 3.1 Type-C et un logement pour carte micro-SD (jusqu'à 1 To). La trappe est très facile à ouvrir / refermer, contrairement à celle des Osmo Action.
L'extension possible sur carte SD est importante car un tel logement est utile pour décharger les images provenant de la mémoire de la caméra. Il suffit pour cela d'encastrer les deux éléments - caméra et station - et de faire appel à la fonction de d'export d'images vers la carte SD.
Le transfert de fichiers s'opère comme sur toutes les Osmo, soit en extrayant la carte mémoire, soit directement depuis l'Osmo via son USB-C, soit encore via l'application DJI Mimo. Le choix du support vous est donné : depuis le stockage interne, ou depuis la carte SD.
A noter une petite facétie : quand le transfert des fichiers s'opère depuis la station, il convient de coupler la caméra en la fixant dessus. Mais le sens de la caméra importe, sinon vous obtiendrez un message vous invitant à orienter la caméra dans l'autre sens !
La lecture des fichiers s'obtient en fixant la station à la caméra. Cela fonctionne comme sur une Osmo classique avec une visualisation vue par vue, ou par vignette. On dispose d'une identification sommaire des fichiers avec le n° du fichier, la date / heure, résolution / fréquence, durée, utilisation ou non du stabilisateur, et angle de vue.
Formats, résolutions, Profils
Malgré sa petite taille, l'Osmo Nano capture en H265 jusqu’au 4K/60 ips, ou en 2,7K, en 16:9 ou en 4:3. La qualité de DJI procure des images toujours aussi belles, avec une dynamique gérant bien les ciels, malgré le petit capteur 1/3 pouce de l'Osmo Nano. En cas de surexposition, ou pour accroître le rendu contrasté des images, on peut tenter de baisser l'exposition (indice de lumination) d'un ou deux paliers (-0,3EV à -O,7EV). Au débit le plus élevé (qui en comprend deux : Standard ou Elevé), on atteint 120 Mbps, ce qui est très correct en H265.
Pou avoir beaucoup filmé avec l'Osmo Action 5, l'écart de qualité reste sensible en faveur de l'Action 5 bien sûr qui dispose d'un capteur
La caméra propose aussi un ralenti de qualité jusqu'au 4K/120 ips, ou même 1080/240 ips, mais la qualité est très mauvaise dans ce dernier cas. Son champ de vision équivaut à un très grand angle de 143° (forcément un peu déformant) pour une ouverture de f/2.8. La mise au point est automatique bien sûr, sur le principe d'une hyperfocale. Cependant, au-dessous de 35 cm, l'image manquera de netteté.
Par faible sensibilité, à la tombée du jour, la caméra continue à se comporter correctement. Disons que les images restent parfaitement exploitables. Mais la DJI Nano reste handicapée par son capteur trop petit, il ne faudra pas abuser des situations de pénombre.
Le Profil couleurs se décline en 8 bit, 10 bits (72 % d’espace colorimétrique en plus d'après DJI) ou en D-Log M (10 bit), préférable pour l'étalonnage et qui procure un rendu "plat" avant traitement, et personnalisable après traitement par un logiciel de montage.
On notera l'absence de mode HDR et de zoom numérique x2 (présente sur les Osmo action), peut-être en raison des limites inhérentes au "petit" capteur 1/3'' qui produit une image moins qualitative. Par contre, on peut faire varier le bruit et la texture de l'image.
Côté chauffe de l'Osmo, la caméra peut chauffer mais l'enregistrement ne stoppera que si réellement une certaine température est atteinte. Si cela se produit, DJI conseille d'éviter les contacts métalliques avec le bas de l'appareil.
Audio, réglages, stabilisation
Côté audio, malgré sa taille chétive, le son dispose de 2 capsules audio, de bonne qualité je trouve, sans utiliser forcément de micro HF DJI. Bien sûr, il faut se méfier en cas de vent fort ou si l'on est éloigné de la caméra. L'idéal est de faire appel à un micro HF DJI, pleinement compatible avec l'Osmo Nano puisque c'est ce dernier qui sert de récepteur sans nécessiter de module additionnel. C'est le fameux écosystème de transmission OsmoAudio, dans lequel on peut aussi associer 1 ou 2 émetteurs DJI HF (Mic Mini ou Mic 2 / Mic 3). J'ai pu tester, la qualité est excellente dans ce cas.
Seule limitation, dès l'instant où on établit une liaison HF, et que la caméra est détachée de la station optique, le retour monitoring n'est pas disponible, il faut impérativement qu'il le soit. Ca n'empêche pas d'enregistrer mais ça prive l'utilisateur d'un contrôle vidéo. Mon conseil dans ce cas de figure est donc de contrôler d'abord la vidéo puis d'allumer le HF dans un second temps, puis de filmer en aveugle.
Autres fonctions avec ou sans HF, un réducteur de bruit est disponible si besoin. Et même un micro intégré de sauvegarde audio, activable dans les Préférences.
On retrouve quasiment tous les réglages des Osmo classiques de DJI avec le choix de la fréquence d'images, des angles, du stabilisateur, et tous les paramètres du mode Pro, et bien sûr, l'activation ou non de la reconnaissance vocale pour pouvoir piloter la Nano par la voix. Via l'application DJI Mimo, on bénéficie même d'un histogramme (!) et d'un quadrillage possible du cadre (pratique pour la règle des Tiers).
Pour stabiliser les plans, on retrouve le mode RockSteady 3.0 et l'astucieux HorizonBalancing qui compense un horizon penché à +/ - 30°. Il n'existe pas de RockSteady+comme sur les autres Osmo, peut-être en raison du recadrage qui en résulte, qui pénaliserait trop la qualité du rendu. Attention aussi au Ralenti dénué de stabilisation. On peut parfaitement se dispenser de toute stabilisation, c'est possible et préférer une stabilisation a posteriori, réalisable avec le logiciel Gyroflow, qui procure beaucoup de souplesse.
Etanche, et munie d'une correction colorimétrique sommaire mais utile, la caméra Nano peut plonger jusqu’à 10 mètres sans caisson, mais SANS la station multifonction qui, lui, n'est pas étanche. Il faudra donc filmer "en aveugle" puisque la caméra ne comporte pas d'écran.
Par ailleurs, il est conseillé de se procurer en option le DJI Floating Handle, poignée flottante qui permet de tenir la caméra sous l'eau. Par ailleurs, la Nano est certifiée IPX4 : résistance aux éclaboussures mineures, protection contre la transpiration et la pluie. Cette fois, c'est sous condition de fixer la station multifonctionnelle.
TARIFS
Bundle Standard Osmo Nano (64 Go) - 279 EUR
Inclut Osmo Nano Caméra (64 Go), station de transmission d’images multifonctionnel Osmo Nano, Clip magnétique pour chapeau Osmo Nano, Cordon magnétique Osmo Nano, Étui de protection Osmo Nano, Câble PD USB-C vers USB-C (USB 3.1), Support d’installation articulé magnétique bidirectionnel Osmo Nano.
Bundle Standard Osmo Nano (128 Go) – 309 EUR
Inclut Osmo Nano Caméra (128 Go), station de transmission d’images multifonctionnel Osmo Nano, Clip magnétique pour chapeau Osmo Nano, Cordon magnétique Osmo Nano, Étui de protection Osmo Nano, Câble PD USB-C vers USB-C (USB 3.1), Support d’installation articulé magnétique bidirectionnel Osmo Nano.
DJI fournit quelques accessoires intéressants avec ses 2 Bundle et en propose d'autres en option ou inclus avec certains Bundle.
-une pince affublée d'une mâchoire féroce qui permet de fixer la caméra sur une casquette par exemple ou sur une bretelle de sac de randonnée ou au sommet du harnais de votre chien. La pince est tellement forte qu'il est pratiquement impossible qu'elle se détache de l'objet sur lequel elle est fixée, même avec un geste malencontreux. Sur une casquette, il faut simplement veiller à ce quelle soit bien au milieu pour que l'horizon (*) ne soit pas penché. De plus, la pince est orientable haut-bas, ce qui offre un ajustement précis. Pas mal pour les randonneurs en plein soleil ou les runners de tous poils !
Sur une casquette, la caméra est si légère (rappel : une cinquantaine de grammes) que même avec le poids additionnel de la pince (25 grammes), la charge totale ne se fait absolument pas sentir sur la tête. Par contre, l'horizontalité est difficile à obtenir, c'est au millimètre et en plus, cela dépend de la façon dont on positionne sa propre tête ! D'abord séduit, je ne trouve finalement pas cette solution très satisfaisante en marchant ou en courant. Je préfère le bandeau "serre-tête".
(*) à noter qu'il existe une étalonnage de l'horizon si besoin.
-un pendentif magnétique : placé sous un vêtement (pas trop épais de préférence), la caméra vient se coller à travers le vêtement par aimantation de la plaque du pendentif. Et prendrais la forme d'une "mini-caméra-piéton". J'ai essayé avec un sweat un peu épais, l'aimantation est très forte, ça tient pas trop mal tant que vous ne faites pas des mouvements frénétiques et que vous marchez tranquillement. Préférez un vêtement fin. Mais le risque de chute existe, notamment si vous heurtez brusquement la caméra d'un mouvement du bras (cela m'est arrivé une fois), et ce n'est pas rassurant ! Vous pouvez aussi minimiser les risques en centrant le plus précisément possible la caméra sur la plaque et en plaçant la caméra dans sa coque protectrice.
En tout cas, c'est une bonne option pour filmer de façon assez discrète (éteignez la diode dans les Préférences) et en vertical, à la différence du bandeau magnétique (ci-après), moins discret, et qui vous contraint à filmer forcément à l'horizontale.
Par ailleurs, on peut régler la hauteur du pendentif en faisant coulisser les lanières qui le suspendent.
Dommage simplement, côté discrétion, que la caméra comporte une mention "DJI" si visible.
-une coque protectrice, utile pour ne pas rayer sa caméra par exemple. Elle n'empêche pas l'aimantation fort heureusement.
-une mini-ventouse orientable : pour réaliser des vues, depuis la carrosserie d'une voiture vers l'extérieur ou l'intérieur du véhicule. Efficace mais toujours risqué, prévoir une lanière
Premier grand classique des produits DJI, la perche à selfie télescopique de 70 cm, ici non-incluse dans les deux packs de base avec la Nano mais qui est proposée dans des packs constitués de cette perche et du Mic Mini également.
Côté accessoires optionnels, DJI m'a prêté le bandeau magnétique (= serre-tête) en option pour 29€. Il séduira probablement les randonneurs, traileurs, amateurs de frisbee, fans de course à pied, et autres promeneurs de chiens, qui pourront réaliser des vues subjectives impressionnantes ou utiles, en toute sécurité pour la caméra.
Le bandeau magnétique bénéficie d'une mini-rotule flexible qui permet d'incliner la caméra pour cadrer exactement le champ désiré; Enfin, il comporte une large surface douce (qui fait tampon) pour ne pas irriter le front. Bref, cet accessoire est simple mais vraiment réussi !
Il est aussi relativement discret, surtout en hiver ou par temps de pluie avec une capuche par dessus.
Attention toutefois, le fait de tourner la tête de façon répétée, donne vite mal au coeur au spectateur. Il faut garder le haut du corps relativement droit quand on marche.
Une précision : le terme de "bandeau magnétique" ne précise pas qu'en réalité, la caméra est maintenue aussi par 2 petits ergots métalliques en sus du magnétisme.
Notez que comme ceux des autres modèles DJI Osmo, la plupart des accessoires GoPro sont compatibles avec l'Osmo Nano.
DJI propose aussi en option pour 69€ un pack de 3 filtres ND, de ND8 à ND32, une mini-ventouse, une perche, ou encore une protection d'objectif en verre.
Autre heureuse initiative (dommage qu'elle soit optionnelle), la protection d'objectif en verre (22€) installée d'origine. En effet, en cas de rayure, ou de frottement, ce qui peut vite arriver, il vous suffira de changer la protection d'objectif en la dévissant. Vous aurez beaucoup de chance si vous n'avez jamais besoin de changer cette protection !
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