Test DJI Osmo Action 4

A peine 11 mois après sa version 3, la célèbre Actioncam de DJI, l'Osmo Action, sort sa version 4. Visiblement, DJI souhaite maintenir un rythme soutenu de présence sur le marché de l'actioncam, mais aussi probablement couper l'herbe sous le pied de GoPro qui annonce classiquement sa nouvelle version en septembre. Car l'Osmo Action de DJI se veut être - de par sa forme parallélépipédique, ses fonctionnalités et son prix - une rivale de la Hero.

Proposée en 2 packs distincts, Standard et Adventure, le prix de cette version 4 est curieusement reparti à la hausse d'environ 70 euros, atteignant 429 euros pour le pack Standard et 529 euros pour le pack Adventure. Toutefois par rapport à la version 11 de GoPro (à 549 euros), il n'existe plus d'écart tarifaire très important (en attendant la Hero12 ?)

Autre surprise, l'Action 4 adopte un nouveau capteur 1/3 pouce plus grand de 10 Mpx (contre 12Mpx pour l'Action 3) qui capture des vidéos jusqu'en 4K/120 ips (comme chez GoPro). Elle est dotée de 2 écrans tactiles (bien réactifs) et peut descendre à 18 mètres sans caisson (contre 16 mètres pour la précédente).

Comme les modèles précédents, la caméra sait enregistrer des vidéos 4K-1080p jusqu'au 120p, des photos, des ralentis (sans audio) ou encore des time-lapses / hyperlapses. La stabilisation (nommée RockSteady) est de mise avec des variantes.

La caméra résiste aussi aux accidents (chutes) d'une hauteur de 1,5 mètres grâce à la conception d'un verre Gorilla Glass de Corning et une protection d’objectif en caoutchouc.

L'utilisateur peut choisir entre 2 packs :

L'Osmo Action 4 est toujours aussi légère. Elle pèse 145 grammes au complet (inchangé vs Osmo 3), soit un poids quasi identique à celui de la Hero 11 de GoPro (154 grammes) et aux dimensions à peine plus grandes que la GoPro californienne (71.8 x 50.8 x 33.6 mm contre 70 × 44 × 31.8 mm).

La DJI est capable en natif de prendre des vues horizontales comme verticales (d'un simple retournement à 90° du boîtier), ce qui est pratique pour poster ses vidéos sur certains réseaux sociaux comme Instagram ou Tik-Tok (tous les réseaux acceptent le 9/16 en fait).

Côté affichage, on récupère avec bonheur les mêmes deux écrans que ceux de l'Osmo Action 3, tous deux tactiles. C'est une tendance d'affichage qu'on retrouve sur la GoPro depuis la Hero10. Pratique car on accède aux mêmes paramétrages qu'on soit devant ou derrière la caméra.

L'écran principal, arrière, de 2,25 pouces est en 16:9. Il est tactile, et lumineux. Sa résolution est de 230.400 pixels. Il est quasiment de même dimension que celui d'une GoPro, tout comme l'écran avant d'ailleurs.

L'écran avant est au format carré. C'est un petit 1,4'' de 102.400 pixels, mais, il s'avère suffisant.

Une précision : les deux écrans sont activables en même temps mais quand on utilise l'écran arrière, l'écran avant est verrouillé, et vice versa. C'est une mesure de protection.

Depuis l'écran principal, d'un mouvement de glissement du doigt en horizontal ou en vertical, on accède aux modes, paramètres image, paramètres généraux. En cliquant sur l’icône qui lui correspond, on accède aussi aux réglages, au mode Lecture ou encore au Zoom (pression longue pas évidente).

L'Osmo Action 4 enregistre en 4K 16:9, 4K 4:3, 2,7K 16:9, 2,7K 4:3, ou 1080p, des résolutions très identiques à GoPro. Le 50 / 60p est bien sûr possible en 4K, jusqu'au 100 / 120p comme chez GoPro. L'accès et la sélection sont très rapides depuis le bas de l'écran, avec de gros chiffres et deux lignes bien séparés (partie résolution et partie "taux de rafraîchissement") et ergonomiquement bien étudiés, avec un "cliquetis" (désactivable) pas déplaisant façon combinaison de coffre-fort !

Le Ralenti, disponible il faut le souligner, dans toute les résolutions, 4K compris, reste d'une qualité remarquable pour une si petite caméra. Bravo ! Un bémol : l'absence de stabilisation durant le Ralenti. Mais c'est vrai qu'en soi, un ralenti stabilise l'image.

Le Ralenti est poussé à 120p en 4K ou 2,7K et 4x (120p) ou 8x (240p) en 1080p.

Un point reste inchangé et c'est un peu dommage : le débit unique est relativement élevé évoluant entre 100 et 130 Mbps. Cela génère des fichiers plus lourds que chez GoPro dont le débit mini est de 60 Mbps. En effet, si la scène à filmer n'est pas très mouvante, un débit de 60 Mbps s'avère suffisant.

On peut sauvegarder jusqu'à 5 modes personnalisés (C1, C2, C3, C4, C5) qui permettent d’accéder à des configurations que l'on emploie souvent qui combinent vos préférences en matière de résolution, angle, ratio, fréquence, et stabilisation. Ces personnalisations évitent ainsi de re-programmer ses paramètres. Une fois enregistrés, ces modes personnalisés sont aisés à appeler car ils s'ajoutent en premier à la liste de base des modes (C1, C2, C3, C4, C5, Photo, Vidéo, HDR, Ralenti, Timelapse / Hyperlapse).

L'étanchéité reste un de points forts de cette caméra puisque l'Osmo Action 4 porte un indice d’étanchéité IP68 (le maximum existant) et peut descendre cette fois à une profondeur de 18 mètres, sans caisson. C'est davantage que la GoPro 11 (10 mètres) et même plus que les 16 mètres de l'Osmo 3. On notera (merci au lecteur qui l'a signalé) que cette profondeur de 18 mètres n'est pas anodine puisqu'elle correspond à la profondeur nécessaire pour l'obtention du premier certificat PADI de plongée.

Toutefois, DJI déconseille une utilisation prolongée sous l'eau sans caisson, et recommande plutôt le caisson dans ce cas (décrit ci-après).

Les vrais plongeurs peuvent compter sur le boîtier étanche DJI (en option, environ 59 euros), et se la "couler douce" jusqu'à 60 mètres ! Il suffit de retirer la lentille de protection de la caméra pour la loger dans le caisson. Les grosses commandes extérieures permettent d'enregistrer ou d'activer le On / Off / Modes. Le caisson pèse 140 grammes.

Mais revenons à l'Osmo Action 4. La caméra reste très proche de l'Osmo 3 avec un unique bouton d'enregistrement sur le dessus, un haut-parleur et un bouton On / Off / changement de Modes sur le côté. Celui-ci est peu souple et nécessite un fort appui prolongé pour allumer ou éteindre, sans doute pour éviter des allumages intempestifs. Mais parfois, caméra éteinte, on pense avoir déchargé la batterie tant ce bouton est dur à la réaction !

C'est pourquoi il peut s'avérer judicieux de faire appel au paramètre "Snapshot" du Menu, et de transiter par le bouton rouge Enregistrement qui, comme chez GoPro, permet d'allumer et de lancer le Record "en même temps". Puis la caméra s'éteint une fois la séquence stoppée. Dommage qu'on ne puisse pas en décider autrement dans le Menu d'ailleurs...

La trappe sur le côté droit permet de changer de batterie et de carte. Son couvercle peut être détaché si besoin. Attention si vous le détachez, le système d'accroche DJI est un peu déroutant à remettre...

Déjà initié sur l'Action2, la base de la caméra accueille un support magnétique très sécurisé qui permet d'y fixer un système de démontage rapide. Ainsi, sous la condition que les clips de sécurité soient bien enfoncés, l'ensemble est hyper-solide et permet de fixer la caméra sur un guidon de vélo, ou un un casque par exemple puis de changer d'accessoire si besoin en un tournemain.

Ce système aimanté est suffisamment solide pour endurer des pressions importantes. Il faudrait un très gros choc pour que la caméra se déclipse. Seul bémol, cet aimant est indispensable pour toute fixation, sans quoi impossible de fixer la caméra sur quoi que ce soit.

Ce système d'aimant peut aussi être exploité sur le "cadre de protection" horizontal-vertical. L'ensemble permet de fixer rapidement la caméra pour filmer en vertical grâce à une détection automatique de l'orientation !

Ce cadre pèse une trentaine de grammes, voyez s'il vous est vraiment utile si chaque dizaine de grammes compte.

Autre attrait du Pack Adventure de la DJI, les 3 batteries et l'étui chargeur sont complétées d'une perche télescopique de 1,5 mètre, ce qui est remarquablement long et permet différentes configurations de tournage. En plus, repliée, elle ne fait que 23 cm, c'est très peu.

Notez que la fonction InvisiStick qui reconnaît et masque numériquement la perche à selfie, a été améliorée. Elle n'est accessible que depuis l'application DJI Mimo.

La perche se plie / déplie très facilement et reste légère. L'attache de la caméra est rapide via la base aimantée et une simple vis de serrage. L'inclinaison est selon votre envie.

La commande vocale, déjà présente sur l'Osmo Action3, s'inspire de celle des GoPro. C'est toutefois une version plus modeste avec 4 commandes vocales seulement : "start recording", "stop recording", "take photo" et "shutdown" (éteindre). Pas d'allumage direct de la caméra à la voix (ça a existé sur le Hero7 !) car le procédé est trop consommateur de batteries, la caméra restant en semi-veille.

Petite singularité du système de reconnaissance DJI, on n'est pas contraint d'ânonner "DJI" à chaque commande (cas chez GoPro). La reconnaissance est globalement bonne à condition de ne pas trop prononcer à la française, notre accent bien français du "Shut Down" par exemple ne passe pas toujours :).

Petit reproche objectif : la commande n'est toujours pas disponible en français (en anglais ou mandarin !) et le Shut Down n'est pas possible à partir de la position Lecture alors que ce serait pratique parfois.

Via le bouton gauche (QS et On / Off) on allume / éteint la caméra mais aussi et surtout on accède au "changement rapide" qui permet de basculer entre 3 modes par défaut (Vidéo, Photo, Timelapse). On peut ajouter les modes qu'on souhaite et appeler ainsi rapidement d'autres modes comme le mode Ralenti, l'Hyperlapse, le mode Lecture, le Screen Switch, ou encore les modes personnalisés (voir ci-après).

Petit regret, le bouton est dur comme du bois, et contraint à appuyer très fort.

L'enregistrement s'effectue sur le déclencheur au-dessus ou par la voix. On sait qu'on enregistre sans hésitation grâce à deux diodes clignotantes, l'une à l'avant, l'autre à l'arrière, et accessoirement, grâce au compteur rouge qui défile en haut à gauche.

La qualité d'image de l'Osmo Action 4 est belle, très proche de celle de la GoPro Hero11, et tout à fait satisfaisante pour des besoins courants ou sportifs, du moins quand la quantité de lumière est suffisante. Le changement de capteur (CMOS 1/3 pouce désormais, soit une taille de pixels équivalente à 2,4 μm) profite à la nouvelle Osmo, du moins avec une lumière suffisante. DJI a changé de capteur sans changer d'optique.

Par ailleurs, l'automatisme a tendance à surexposer l'image par temps trop ensoleillé ou par temps gris.

Dès qu'il s'agit de vues nocturnes, ou intérieur nuit, l’Osmo Action 4 est avantagée par son capteur plus grand (que le prédécesseur et même que la GoPro), ce qui a pour effet que l'image est moins détériorée. De plus, autant l'Iso Auto booste trop le signal, autant l'Iso manuel est intéressant pour parvenir à un compromis luminosité / absence de bruit. Elle rejoint un peu l'Osmo Pocket 2 (en attendant la Pocket 3) sans l'égaler en raison de l'ouverture de la Pocket à f/1.8.

Il est à noter qu'on dispose aussi d'un réglage nommé "Priorité EIS par faible luminosité" qui a pour effet de supprimer le flou de mouvement et désactive la fonction anti-scintillement.

D'autre part, la dernière mise à jour offre un Réducteur de bruit - positionnable sur 3 positions - Élevé, Moyen, Faible - qui permet comme son nom l'indique de réduire le bruit. Ou de faire appel à deux préréglages (Défaut ou Portrait). Globalement la sensibilité me semble meilleure avec l'Osmo Action 4 qu'avec l'Osmo3 mais sans atteindre la qualité de la Pocket... de DJI.

Côté stabilisation, l’Osmo Action 4 s’appuie toujours sur 5 (!) options de stabilisation électronique :

1) D'abord le Off. Cela n'est pas si idiot car dans ce mode, on bénéficie de l'angle de champ maximum puisqu'il est sans recadrage. Parfois, ce mode s'active automatiquement si on choisit une résolution / fréquence qui désactive le stabilisateur.

2) La stabilisation de base est électronique et se nomme RockSteady (3.0, inchangé). Ce mode élimine le bougé caméra mais sans corriger la caméra si elle penche de côté (vers la gauche / droite). Cela sied à de nombreuses situations. Le RockSteady prend en charge l’utilisation jusqu’à 4K/120 ips. C'est le mode de stabilisation que j'ai testé le plus, et il est super efficace. En revanche, il ne fonctionne pas au Ralenti et cette privation se sent ! En 16/9, on perd environ 10% d'image. En tenir compte.

3) L'Osmo 3 offrait déjà l'option "RockSteady+" qu'on retrouve ici. Cette option augmente la stabilité mais au prix d'un recadrage plus marqué (% non communiqué, voir plus bas), qui se cumule à celui du RockSteady de base, qu'on peut estimer (au total) à au moins 20%. Ca commence à faire beaucoup...

4) L'Osmo propose aussi le mode HorizonBalancing est une sorte de RockSteady qui en 4K comme en 2,7K, corrige en plus l’inclinaison horizontalement sur ± 45° et prend en charge en plus l’enregistrement de vidéos en HD 4K/60 ips. Mais il en résulte un très fort recadrage.

5) En 2,7K et 1080p seulement, le mode HorizonSteady corrige à 360° (chez GoPro c'est en 4K au prix d'un recadrage) et aide ainsi à éliminer le bougé caméra dans toutes les directions et ce, quel que soit l’angle. HorizonSteady implique donc lui aussi un fort recadrage.

Un zoom numérique jusqu’à 4x est activable pendant l'enregistrement, muni d'une jolie échelle graduée qui rappelle ce qu'on trouve sur certains smartphones. Sa qualité est malheureusement sans (bonne) surprise, à savoir très mauvaise à x3 ou x4 (le maximum). Vous pouvez tentez un x2, sans le dépasser, que ce soit en vidéo ou en photo.

Ce mode Pro offre même des possibilités supplémentaires à condition d'utiliser l'application DJI Mimo qui sait afficher sur le smartphone les zones surexposées (Zébra) et même peut afficher un histogramme ci-dessus, (rectangle déplaçable) !

On note aussi un enregistrement en boucle pour réaliser un enregistrement continu. On peut le régler sur Max, 5 minutes, 20 minutes, ou une heure. De quoi donner du choix...

Notez qu'une alerte vocale informe les utilisateurs des modes utilisés, ce qui peut être utile si on fixe la caméra sur un support qui ne permet pas de voir l'écran. Attention, le volume sonore (réglable) est très fort par défaut !

Au côtés du mode "Normal", DJI change le principe du D-Cinelike qui procurait de la chaleur aux vidéos mais restait assez marqué. Désormais on peut tabler sur le D-Log M 10 bit qui procure une meilleure dynamique. Le rendu se solde par une image à faible contraste, plus homogène (plus "neutre") qui autorise un éventuel étalonnage. A vous ensuite de régler contraste, luminosité et colorimétrie. Le 10 bits reflète un enrichissement de l'approfondissement des couleurs et le D-Log préserve les détails dans les hautes lumières et les ombres. Toutefois, la différence reste subtile avec un système 8 bits. Et si tout ça vous paraît compliqué, il vous reste le mode Normal qui apporte de bons résultats.

Le D-Log M 10 bit est disponible dans les modes Vidéo, Ralenti et Timelapse.

Remplacement mais aussi suppression. Le mode HDR a été évincé alors que c'est plutôt un mode "tendance". Bizarre, d'autant qu'il était compatible avec le RockSteady et même le RockSteady+ de l'Osmo Action 3. DJI argumente en expliquant que la dynamique de sa caméra est élevée, rendant inutile le HDR.

L'Osmo Action 4 bénéficie d'un Timelapse. On apprécie en plus que DJI donne la faculté de prérégler son Timelapse en fonction de scènes-type : foules, nuages, coucher de soleil... Notez qu'en mode Timelapse ou Hyperlapse, seules les angles Standard (Dewarp) et large sont disponibles, l'Ultralarge ne l'est pas.

Notez que le mode Lecture offre peu de possibilités mais deux aspects bien conçus sont à saluer. D'une part, on accède au mode Lecture depuis l'écran principal en cliquant simplement sur la flèche Lecture, ce qui évite d'appeler le mode Lecture par un balayage de l'écran dont, une fois sur deux, on ne se remémore plus le sens cardinal.

Autre satisfaction, chaque fichier vidéo indique (symbole i) non seulement la résolution / fréquence, la date de prise de vues, ou le poids du fichier, mais aussi - et c'est précieux - la focale employée, quel stabilisateur on a utilisé, et l'éventuel Style (D-Log M...) auquel on a eu recours. Cela permet de se souvenir de ses réglages pour les réutiliser.

Côté audio, c'est le haut parleur qui est le plus visible au sommet. Hormis cela, trois micros sont répartis à la fois en bas, de part et d'autre du logo "Action 4" et sur le dessous en ce qui concerne le micro coupe-vent. Le micro avant répond à la logique du Vlog et d'un audio directionnel "avant".

On note la compatibilité des micros DJI (comme le DJI Mic en HF) via le connecteur Type-C et des micros externes via un câble de 3,5 mm vers USB-C.

Enfin, trois types de connexion intéressants :

1) l'USB-C sert à recharger sur ordinateur ou à décharger ses rushes. C'est une solution qui peut s'avérer bien plus pratique que d'extraire la carte mémoire. La câble USB-C-USB-C est fourni. Sinon il faut trouver un câble USB-C-USB-A si votre ordinateur est d'ancienne génération et donc dépourvu d'USB-C.

2) on peut connecter l’Osmo Action 3 par liaison OTG via le câble USB-C, ce qui facilite beaucoup le transfert vers un appareil Android.

3) on peut utiliser l'Osmo Action 4 comme une Webcam en branchant simplement le port USB-C de la caméra à un ordinateur et en récupérant le signal par exemple depuis une application comme VLC (Ouvrir un périphérique de capture puis Osmo4). Cette fonction Webcam est compatible Windows ou Mac et fonctionne très bien. La qualité d'image est supérieure à celle d'une Webcam classique.

L'application DJI Mimo offre toutes les facultés dont on dispose sur la caméra plus quelques autres. DJI Mimo possède aussi une section Editeur.

Une seconde application facultative nommée LightCut permet de se connecter à la caméra via Wi-Fi pour des aperçus rapides et une édition automatique (grâce à l'I.A.) avec différents modèles de Story (Histoire) sans avoir à transférer les séquences de la caméra.

Depuis cette même application DJI Mimo, la diffusion en direct est également au programme comme chez GoPro. Les paramètres essentiels à une bonne diffusion sont tous réunis.