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Test Canon Eos C100

Le caméscope cinéma abordable

 

11 décembre 2013 par Antoine Désir

 

Eos C100

Pendant des années, Canon n'a pas vendu de caméscope très professionnel ou de type cinéma, laissant la place à Sony, Panasonic, JVC et d'autres fabricants comme RED, Arri, etc... Il était cependant très présent sur ce marché à travers ses optiques, montées sur les caméscopes d'autres fabricants. Puis sont arrivés les appareils photo EOS dotés de capacité vidéo avec des capteurs plein format, en particulier l'EOS 5D. Et ce fut un grand chambardement dans le cinéma numérique : les vidéastes pouvaient enregistrer des images de type "cinéma".


Profitant de cet engouement, Canon a investi ce créneau de la vidéo "grands capteurs" avec des caméscopes cinéma. La gamme EOS C s'est développé avec des appareils plutôt coûteux : le EOS C300 a lancé la gamme, positionné à environ 10 000 € HT. Puis vint le EOS C500 encore plus évolué, mais dépassant les 18 000 € HT. Enfin, le EOS C100 est positionné en "entrée de cette gamme", si on peut parler ainsi d'un caméscope à moins de 5000 € HT. Que peut-on attendre d'un caméscope positionné directement face aux reflex vidéo ?



> LIRE LA SUITE : Concept du Canon Eos C100

Concept du Canon Eos C100

Le concept du EOS C100 reprend celui des EOS C300 et C500, mais il est assez différent des caméscopes traditionnels. Très marqué par l'héritage des reflex EOS, Canon a profité de cette nouvelle gamme pour réviser la forme et l'ergonomie des caméscopes. Pas grand chose de commun entre un XF300 et un EOS C100, par exemple. Le capteur est gros, alors Canon a construit le caméscope autour du capteur, aboutissant à un corps remarquablement compact mais déroutant au premier abord.


Le corps de 1 Kg concentre l'électronique et renvoie le reste à la périphérie : l'objectif est interchangeable, les poignées sont détachables. Contrairement à la célèbre marque rouge, on a quand même un viseur et un écran intégré, ainsi qu'un enregistreur sur cartes et toutes les commandes sur le corps compact.


Sa place est naturellement sur un trépied ou un stabilisateur, mais ce caméscope peut facilement s'utiliser comme un caméscope de poing grâce à sa poignée latérale. Ses grands frères, lorsqu'ils sont mobiles, sont plutôt destinés à être portés sur des crosses d'épaule ou des rigs qu'à la main.


Eos C100

On y retrouve les caractéristiques des caméscopes professionnels (à objectif interchangeable) :


  • double ou triple déclencheur d'enregistrement,
  • filtres ND 1/4, 1/16 et 1/64,
  • 15 boutons personnalisables,
  • menus complets,
  • personnalisation de la colorimétrie, dont le gamma,
  • peaking, zebra réglable,
  • boutons directs pour les fonctions principales,
  • batterie de haute capacité,
  • 2 entrées XLR avec alimentation 48V sur la poignée
  • réglage niveaux audio par molette,
  • griffe standard et porte micro
  • sortie HDMI et composite,
  • double emplacement pour carte mémoire,

 


Avec ses 2,4 kg en ordre de marche sans accessoire (avec l'objectif EFS 18-135 IS STM), le caméscope n'est pas trop lourd. C'est comparable aux caméscopes de poing légers. Étonnant ? En fait, le zoom EF-S 18-135 pèse moins de 500 g. Il ne peut être comparé aux zoom 20X, 22X ou 23X motorisés des concurrents : le zoom est mécanique et la plage limitée à 7,5X.



(Test Canon Eos C100)

Capteur

Nous ne parlerons pas de l'objectif EFS 18-135 IS STM du test, à part qu'il est bien adapté à l'appareil car d'une étendue supérieure à d'autres zooms et apte à la vidéo, en particulier côté autofocus (version STM). Pour environ 300 euros, il ne grèvera pas trop le budget total.


Le capteur monoCMOS Super35 (24,6 x 13,8 mm) correspond à une taille standard de pellicule cinématographique. C'est aussi une taille intermédiaire entre l'APS-C et le plein format que l'on retrouve dans les reflex vidéo. Avec 8,3 millions de photosites, il est parfaitement apte à enregistrer en HD (les 2 millions de pixels de la HD exigent 8 millions de photosites sur un seul capteur pour enregistrer toute la colorimétrie). La taille de chaque pixel (6,4 microns) étant supérieure à la barrière des 5 microns, on peut s'attendre à un sensibilité native digne des appareils photo professionnels.


Eos C100

Le regret principal est l'absence de stabilisation du capteur lui-même, renvoyant celle-ci à la charge de l'objectif. C'est l'usage chez Canon, mais cela restreint fortement la stabilisation évoluée telle qu'elle existe dans les derniers caméscopes de poing. On pressent qu'il va falloir choisir entre stabilité et sensibilité.



(Test Canon Eos C100)

Micro, audio

Eos C100

Le boîtier lui-même n'est pourvu d'aucun micro, mais plusieurs possibilités existent :


- le micro stéréo placé au bout de la poignée amovible supérieure,


- les prises XLR placées sur cette poignée,


- l'entrée jack stéréo placée sur le boîtier.


La poignée supérieure, en plus d'ajouter un bouton de déclenchement, est surtout une poignée "audio" : prises XLR, réglage des niveaux, niveaux d'alimentation et affectation des canaux. Tout est là, sans dispersion, seuls les compléments sont dans le menu : filtre, sensibilité, atténuation, limiteur, gain. C'est complet dans le menu et accessible sur la poignée : bien joué !


Eos C100

L'entrée jack stéréo est la bienvenue, elle est souvent absente des caméscopes de poing professionnels. Cela permet par exemple d'y brancher des petits récepteurs sans fil. Pour augmenter la compacité, nous avons enregistré longtemps avec un simple Videomic (sortie jack stéréo) à la place de la poignée supérieure.


Eos C100


(Test Canon Eos C100)

Viseur, écran

Le viseur est minuscule, non étirable, non relevable. Un très mauvais point pour le C100, alors que sa définition "quart de HD" (960 x 540) est moins mauvaise que celle de l'écran. Mais comme ce dernier doit rester ouvert pour accéder à certains boutons, le viseur ne sera utilisé qu'en dernier recours. Heureusement, on peut régler l'allumage simultané du viseur et de l'écran dans le menu.


Les indications affichées sont nombreuses et largement personnalisables, c'est un bon point.


Eos C100


L'écran est trop standard, d'une taille moyenne (3,5") et d'une définition faible (640 x 480 pixels, inférieure à celle du viseur) : totalement indigne d'un caméscope HD à 5000 € ! Canon a dégradé les composants pourtant peu exceptionnels présents sur le C300 pour bien marquer le côté "entrée de gamme" du C100. Le placement à l'arrière du boîtier rapproche pourtant l'écran de l'opérateur et atténue le handicap de la taille. Celui de la faible définition ne sera surmonté qu'avec un écran externe.
Eos C100
A noter un conflit entre le viseur et l'écran : le viseur fixe empêche l'écran de se relever au maximum en position "haute". Ce n'est pas souvent gênant, mais oblige à quelques contorsions pour bien voir l'écran lorsque le caméscope est en hauteur.
Eos C100


(Test Canon Eos C100)

Connectique et batterie

La connectique, en dehors des connecteurs des poignées, est limitée :


  • sortie HDMI,
  • sortie AV,
  • sortie casque (jack stéréo 3,5 mm),
  • entrée télécommande (remote),
  • connexion USB (mini A),
  • entrées micro XLR sur la poignée supérieure,
  • entrée micro (jack stéréo 3,5 mm).

 


Pour les batteries, on reste dans le standard (identique au Canon XF) : une BP-955 de 39 Wh est livrée. Pour plus d'autonomie, on peut utiliser un BP-975 (55 Wh) que nous avions pour notre test. Cette dernière promet 4 heures d'autonomie, mais 3 heures ont suffi en tournage réel pour vider cette grosse batterie. Pas de bip sonore en fin de batterie, mais des clignotements des témoins de tournage et un avertissement à l'écran, c'est moins pénible que chez Sony...


A noter que le déverrouillage de la batterie est gêné par la poignée latérale, ce n'est pas très pratique.


Eos C100


Le chargeur livré (CA-930) ne permet de charger qu'une seule batterie (avec indication de niveau de charge) ou de servir d'alimentation externe.


Aucun souci pour alimenter en même temps le caméscope avec l'alimentation externe et une batterie ou continuer à tourner en débranchant l'alimentation externe.


Eos C100

La sortie HDMI sera précieuse sur le C100, car elle permettra d'y connecter un enregistreur externe qui récupère un signal non compressé en 4:2:2, annulant le défaut de la compression AVCHD.


La prise AV out permettant de sortir un signal composite semble franchement anachronique pour un caméscope qui ne propose aucun mode SD, mais elle peut s'avérer utile pour brancher un ancien écran externe, plus grand et mieux défini que celui interne.


Pas de WiFi, pas de GPS, le C100 est un caméscope de 2012, et ça se sent de ce côté.



(Test Canon Eos C100)

Prise en mains

La prise en mains est un peu perturbante pour un vidéaste : l'ergonomie est typée "EOS". Le bouton de déclenchement principal se trouve sous l'index, pas le pouce. On en trouve un autre sur la poignée supérieure et un dernier, souvent pratique, sous l'objectif. Aucun souci de réponse de ce bouton : ils sont suffisamment francs pour ne pas engendrer d'erreur de déclenchement.


Eos C100

Les réglages se font rapidement en utilisant les boutons directs sur le flanc gauche et le joystick sous le pouce. On aurait parfois préféré utiliser la roue crantée, mais elle sert surtout au réglage de l'ouverture en mode manuel.


Ce joystick, une fois apprivoisé, est pratique et rapide d'utilisation.


Eos C100

Eos C100


le bouton "Rec Review" est idéalement placé à côté de l'écran et la loupe (pour agrandir le milieu de l'écran) est facilement accessible. Inutile de dire qu'avec une faible profondeur de champ due à la taille du capteur et la faible définition de l'écran, il a fallu souvent activer cette fonction. D'ailleurs, par défaut, cette fonction est affectée aux boutons 7 ET 8, c'est dire si elle est utile !


Les caméscopes modernes ne sont souvent pas rapides au démarrage. L'EOS C100 ne fait pas exception, il est même plutôt dans les lents : il lui faut 8 secondes pour être fin prêt à enregistrer ! Mieux vaut ne pas être pressé...


Allumage EOS C100


Et Canon continue l'archaïsme qui consiste à passer du mode enregistrement (Camera) au mode lecture (Media) avec le bouton d'allumage. Il faudrait pourtant supprimer cette bascule qui n'a plus vraiment de sens.


L'EOS C100 se tient bien à deux mains, mais pas à une seule. La poignée latérale est trop déportée sur la droite pour tenir le caméscope uniquement par cette poignée soit confortable. Avec la main gauche soutenant le caméscope par dessous, c'est bien mieux. La poignée latérale est d'ailleurs rotative et peut se positionner dans de multiples positions. L'idée est la même que sur le EX1 de Sony, mais la réalisation différente : il faut dévisser et revisser la poignée pour changer son inclinaison. Ce n'est donc pas une manipulation qui peut être fréquente.


Eos C100
Le C100 montre ses menus en 10 langues, c'est bien. Comme d'habitude, il y a quelques approximations de traduction et elle est incomplète (il subsiste de nombreux termes en anglais) alors qu'il y a eu plusieurs révisions de firmware, donc plusieurs occasions de corriger...


(Test Canon Eos C100)

Qualité d'image et réglages, sensibilité

Avec le même capteur, Canon et Sony produisent du 4K. On peut en déduire que ce n'est pas de ce côté que le C100 va décevoir. Tout dépend donc de l'optique que vous mettez devant. L'optique EFS utilisée pendant le test était bien gérée : il faut déclarer l'usage d'une optique EFS qui ne couvre pas tout le capteur et on peut enclencher la correction automatique du vignettage. Le résultat est excellent. Bien sûr, il est possible d'avoir mieux avec les optiques EOS Cinema, mais le budget n'est plus du tout le même. Le zoom EOS Cinema le moins cher coûte le prix de trois boîtiers C100 ! Le C100 est donc destiné à accueillir des optiques photos moins coûteuses.


L'inconvénient de ces optiques photos est une stabilisation peu adaptée à la vidéo, caméscope au poing. Les meilleurs stabilisateurs multi-axes associant stabilisation optique et électronique font maintenant une grande différence avec la simple et limitée stabilisation optique des objectifs photos.


Les réglages d'images sont nombreux : détail, gamma, matrice, grain, colorimétrie, etc. Il se font via les 9 profils d'image, que l'on peut enregistrer pour les réutiliser. Les trois derniers profils sont déjà définis : EOS Standard pour reproduire les couleurs des reflex Canon, Wide Dynamic Range pour augmenter la dynamique et Cinéma pour utiliser la célèbre courbe Canon Log adaptée à la post-production.


Eos C100

Les fréquences d'image sont ridicules : 50i ou 25p, passez votre chemin. C'est un des gros points faibles du C100 : pas de 50p, encore moins de 100p ou 250p comme le FS700 de Sony. L'enregistrement en entrelacé est un résidu d'un temps que le EOS C100 devrait avoir oublié !


Eos C100

Toujours pas de presets rapides de balance des blancs de type "photo" dans ce caméscope, c'est dommage pour un EOS. Mais le réglage fin, en plus de la traditionnelle balance des blancs manuelle, est facile.


Eos C100

Les automatismes d'exposition ont souvent tendance à sous-exposer. Mais l'affichage de la forme d'onde est redoutable pour se rendre compte immédiatement du problème et le corriger. Il n'y a pas d'avertissement de sous ou sur exposition pour prévenir de changer de filtre neutre, mais ce n'est pas si grave car toutes les indications nécessaires pour modifier le réglage sont à l'écran.


Si vous étiez à la recherche d'un caméscope sensible, vous avez trouvé ! Bénéficiant d'un grand capteur simple doté de 8,3 millions de gros photosites, le EOS C100 est vraiment sensible. Contrairement aux caméscopes classiques, Canon a gardé la sensibilité en ISO de ses reflex et c'est bien comme ça (mais ça peut se changer dans le menu). La sensibilité native du capteur (donc gain à 0) est de 850 ISO. Le gain négatif est du coup obligatoire, avec des sensibilités allant de 320 à 800 (pas moins). Pousser le gain permet d'aller jusqu'à 20 000 ISO (avec le firmware 1.02), si on accepte le bruit pour voir dans le noir. On peut même étendre la plage de sensibilité pour atteindre 80 000 ISO. A quoi cela peut-il bien servir ? Comme sur les reflex, on peut aller jusqu'à 3200 ISO sans trop de dégâts, ce qui permet de se passer d'éclairage dans bien des cas.


Eos C100

ISO 850


 


Eos C100

ISO 1600


 


Eos C100

ISO 3200


 


Eos C100

ISO 6400


 


Eos C100

ISO 12800


 


Eos C100
ISO 20000


(Test Canon Eos C100)

Support d'enregistrement

Le EOS C100 est un caméscope AVCHD qui enregistre sur cartes SDHC. C'est le standard en grand public. Et même un peu obsolète car c'est la première version de l'AVCHD qui est utilisée, pas la seconde permettant plus de débit en 50p.


De ce côté, Canon reste dans l'économie : l'AVCHD sur cartes SDHC, c'est ce qu'on fait de plus standard et de moins cher en vidéo HD ! Il y a deux slots SDHC à l'arrière, assez faciles d'accès si l'écran est soulevé. Les deux cartes peuvent enregistrer simultanément ou en relais. Par contre, la gestion des cartes est trop basique : l'enregistrement s'arrête si une carte est enlevée, même si l'enregistrement se fait sur l'autre. Et le relais ne va que de A vers B et ne peut pas aller de B vers A. Du coup, pas d'enregistrement en continu en basculant d'une carte sur l'autre au fur et à mesure.


Il faut dire que si vous insérez deux cartes de 64 Go, vous pouvez voir venir (10 heures en débit maxi). Le tout pour une petite centaine d'euros.


Eos c100

Pour aller plus loin en qualité ou en capacité d'enregistrement, il faudra passer par un enregistreur externe branché sur la prise HDMI, du type Ninja 2 ou HyperDeck Shuttle.



(Test Canon Eos C100)

Montage

Avec le AVCHD sur carte SDHC, vous pouvez utiliser n'importe quel logiciel de montage, même grand public. Toutes les versions récentes sont capables de monter ce type de vidéos. Seul le mode 24 Mbps LPCM (avec le son en LPCM) pourrait poser des difficultés, mais la plupart des logiciels y arrivent bien.


Eos C100
Si les vidéos sortent d'un enregistreur externe, il faudra se tourner vers des logiciels professionnels courants, comme Final Cut Pro, Media Composer, Premiere ou Vegas qui vont lire le ProRes ou le DNxHD issu de l'enregistreur.


(Test Canon Eos C100)

Spécifications mesurées

Eos C100

Hauteur : 171 sans la poignée supérieure, 278 avec
Largeur : 170 mm avec la poignée latérale
Longueur : 120 mm sans la poignée supérieure, 240 mm avec
Monture : EF
Diagonale de l'écran : 88 mm (3,5")
Diagonale du viseur : 6 mm (0,24")
Poids du caméscope nu (sans batterie, carte, objectif, poignées) : 1010 g
Poids de la poignée latérale : 215 g
Poids de la poignée supérieure : 360 g
Poids de la batterie BP-975 : 317 g
Poids objectif EFS 18-135 : 469 g
2 carte SDHC : 4 g
Poids de l'appareil en ordre de marche (avec la batterie standard, le pare-soleil, la carte SxS) : 2375 g
Démarrage mode caméra : 8 s


Démarrage mode media : 7 s


Passage du mode caméra (enregistrement) au mode media (lecture) : 3 s


Passage du mode media (lecture) au mode caméra (enregistrement) : 4 s



(Test Canon Eos C100)

La concurrence

Les caméscopes à grand capteur et objectif interchangeables ne sont pas légion. Chez Sony, on trouve les EA50, FS100 et FS700 en professionnel, ainsi que les VG30 et VG900 en grand public. Chez Panasonic, on trouve le AF101. JVC n'a pas investi ce créneau.


Le Panasonic AF101 depuis sa mise à jour propose le 50p, mais un capteur plus petit, une ergonomie plus habituelle (mais pas meilleure) et un prix similaire au C100.


AF101S

Le Sony FS100 est moins cher de 500 euros tout de même, avec un capteur de la même taille mais bien moins de photosites, quelques manques (filtres neutres par exemple) et une ergonomie différente.


FS700
Le Sony FS700 est techniquement plus proche du C100, mais il faut mettre 1000 euros de plus. On y gagne des fréquences d'image bien supérieures, la connectique SDI et une option 4K.


(Test Canon Eos C100)

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