
Panasonic VDR-D310 / VDR-D220 / VDR-D160
Le DVDCam à 3 capteurs et stabilisateur optique
08 septembre 2007 par Thierry Philippon
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VDR-D310 |
Format : DVDCam |
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Le VDR-D310 est le haut de gamme DVDCam d'un trio composé également des VDR-D220 et VDR-D160. Succédant au VDR-D300, le VDR-D310 répond comme ses homologues DVDCam au format MPEG-2. Son débit de compression variable (VBR) peut s’élever à 10 Mbps en mode XP en DVD-Ram (il plafonnait à 9 Mbits avec le VDR-D300) mais il n’offre dans tous les cas que 18’ d’enregistrement. Dix-huit minutes, ça reste peu, nous l'avons constaté (et subi !) sur le terrain. Avec un débit moins élevé (SP, 5 Mbps), on peut porter cette durée à 37’ et même 75’ (LP, 2,5 Mbps). Le LP est à réserver à des usages sans importance. Des disques DVD-Ram double face existent, poussant la durée à 36’ en XP et 74’ en SP. Rappelons que le DVD-Ram, réinscriptible (théoriquement) 100 000 fois, est promu par Hitachi et Panasonic. Il évite le formatage ou la finalisation et autorise l’édition des séquences sur le camescope grâce à son format VR. Inconvénient, toutes les platines de salon ne relisent pas le DVD-Ram, encore moins les platines informatiques. C'est pourquoi le DVD-R/-RW est un format qui aura peut-être votre préférence. Il faut savoir que le format -R, ratifié par le DVD Forum, est plus largement accepté par les platines de salon ou informatiques. Seule contrainte pour Panasonic, être obligé de faire l'impasse sur le DVD+R/+RW qui reste la chasse gardée de Sony. Le VDR-D310 accepte aussi les disques DVD-R/-RW double couche (DL 2,6 ou 2,8 Gb) mais ces derniers sont assez difficiles à trouver. De plus, en comparaison, ils sont plus chers (env. 12€ le lot de 2) qu’une K7 mini-DV (env. 3 euros pièce) pour une durée moindre en haute qualité. Avec un disque DVD-RW, on peut également éditer/supprimer les séquences mais seulement en mode VR dont la compatibilité est également restrictive, excepté si on relit ses images avec le camescope. Le format DVD-R/-RW exige de finaliser le disque, du moins pour être relu sur un autre appareil. C'est une contrainte que nous avons du mal à supporter. Surtout chez Panasonic qui impose dans ce cas d’alimenter le camescope sur secteur (ce n'est pas le cas chez Sony), même si la batterie est pleine. Méfiez-vous, avec un disque DVD-RW peu rempli (cas fréquent quand on débute), la finalisation est longue car la norme DVD impose que pour être reconnu, un DVD doit comporter au moins 1 Go de données enregistrées. L'appareil crée donc dans ce cas durant plusieurs minutes des fichiers fantômes afin de répondre à cette norme. L’image du VDR-D310 est bien servie grâce à ses 3 capteurs et son « caillou » signé Leica. Elle est flanquée d’une belle colorimétrie. Côté sensibilité, le VDR-D310 ne se défend pas si mal que cela comme le montre cet exemple. Ce résultat étonne car le capteur 1/6e de pouce du D310 devrait nettement le désavantager. Pas de torche. |
Le test express
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VDR-D310
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Format : DVDCam
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Le VDR-D310, successeur du VDR-D300, répond comme ses homologues DVDCam au format MPEG-2. Son débit de compression variable (VBR) peut s’élever à 10 Mbps en mode XP en DVD-Ram (il plafonnait à 9 Mbits avec le VDR-D300) mais il n’offre dans tous les cas que 18’ d’enregistrement. Dix-huit minutes, ça reste peu, nous l'avons constaté (et subi !) sur le terrain. Avec un débit moins élevé (SP, 5 Mbps), on peut porter cette durée à 37’ et même 75’ (LP, 2,5 Mbps). Le LP est à réserver à des usages sans importance. Des disques DVD-Ram double face existent, poussant la durée à 36’ en XP et 74’ en SP. Rappelons que le DVD-Ram, réinscriptible (théoriquement) 100 000 fois, est promu par Hitachi et Panasonic. Il évite le formatage ou la finalisation et autorise l’édition des séquences sur le camescope grâce à son format VR. Inconvénient, toutes les platines de salon ne relisent pas le DVD-Ram, encore moins les platines informatiques. Le DVD-R/-RW est un format plus largement accepté (ratification par le DVD Forum), c’est pourquoi Panasonic offre ce double choix. Mais il est contraint de faire l'impasse sur le DVD+R/+RW qui reste le terrain de Sony. Le VDR-D310 accepte aussi les disques DVD-R/-RW double couche (DL 2,8 Gb) mais sont assez difficiles à trouver. De plus, en comparaison, ils sont plus chers (env. 12 euros le lot de 2) qu’une K7 mini-DV (env. 3 euros pièce) pour une durée moindre en haute qualité. Avec un disque DVD-RW, on peut également éditer/supprimer les séquences mais seulement en mode VR dont la compatibilité est également restrictive, excepté si on relit ses images avec le camescope. Le DVD-R/-RW exige de finaliser le disque, ce qui impose dans ce cas d’alimenter le camescope sur secteur, même si la batterie est pleine. Méfiez-vous, avec un disque DVD-RW peu rempli (cas fréquent quand on débute), la finalisation est longue car la norme DVD impose que pour être reconnu, un DVD doit comporter au moins 1 Go de données enregistrées. L'appareil crée donc dans ce cas des fichiers fantômes afin de répondre à cette norme. L’image du VDR-D310 est bien servie grâce à ses 3 capteurs et son « caillou » signé Leica. Elle est flanquée d’une belle colorimétrie. Côté sensibilité, le VDR-D310 ne se défend pas trop mal. Ce résultat étonne car le capteur 1/6e de pouce du D310 devrait nettement le désavantager. Pas de torche. L’objectif, quoique de qualité, concède un gros point faible : sa focale minimale équivaut à 46,1 mm en 4:3, une valeur un peu juste compte tenu que le mode 16:9 n’agrandit pas le champ (il fait même moins bien !). Par ailleurs, le zoom plafonne à x10 comme sur la plupart des tri-CCD. Le D310 se rattrape par un stabilisateur optique efficace. Il faut souligner qu’une stabilisation optique est une denrée rare sur les DVDCam.
Globalement, la plupart des fonctions vidéo bénéficient au mode Photo, stabilisateur optique compris. A l’inverse de Sony ou Canon, les vues fixes du mode Photo s’enregistrent sur la seule carte mémoire (non fournie). Dommage. De plus, le Flash, présent sur le prédécesseur, a disparu. Un Joystick à l’arrière régit à peu près tout : accès aux réglages (balance des blancs, compensation de contrejour), mode Nuit, Grain de peau… ou encore le mode Lecture. Le Joystick déroute au début puis devient un agréable « levier de vitesse » ! Dans l’urgence, on peut toutefois lui reprocher d’être confondu avec le déclencheur. Enfin, un bon point pour l’AGS, dispositif débrayable, évitant de filmer ses chaussures.
Sur le reste, ce modèle développe les mêmes petits plus que les autres tri-CCD de la marque : chargeur externe, griffe, mini-pare-soleil, vision nocturne, micro-zoom. L’autonomie est standard.
Automatismes et réglages
Audio, connectique
Et aussi…
Les chiffres du labo |
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VDR-D310
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VDR-D160
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Différences VDR-D310, VDR-D220 et VDR-D160 En l'avantage du VDR-D310
En l'avantage du VDR-D160 :
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