Le NV-GS500 est le haut de gamme 2006 d'un quatuor
tri-CCD comprenant également les modèles NV-GS300, NV-GS280 et NV-GS180.
C'est pourquoi l'allure de chacun des produits semble si proche, exception faite du GS180 dont l'écran
diffère. Le GS500 succède au célèbre NV-GS400 à la longévité record en ces temps qui courent (plus de 18 mois!).
Même si les possesseurs de GS400 ont repéré
assez vite quelques manques dont le nouveau modèle est victime, le GS500 reprend bien des caractéristiques
essentielles de son aîné comme la mise au point par bague, le stabilisateur optique, l'entrée
DV, le mode Pro-Cinéma ou encore le réglage manuel de l'audio. Il argue de la même
qualité vidéo et d'une résolution photo de à 4 millions de pixels (2288x1728),
obtenue par décalage de pixels, comme sur son prédécesseur. On retrouve tous les
réglages manuels, y compris les plus fins comme le réglage manuel du Gain, si peu courant.
Autre point de satisfaction, le poids du GS500
(680 grammes au complet) a diminué. Il correspond grosso modo au GS400 "nu", sans batterie
ni cassette. Toujours ça de gagné car cet allégement ne nuit pas à la stabilité
du camescope. Comme ses homologues de la marque, le GS500 est très rapide à mettre en
route (1,7'') grâce à son fameux dispositif Quick Start. Du coup, le camescope "dégaine"
au quart de tour. D'autant plus rapide que l'enregistrement est quasi immédiat entre la position
Standby et Record.
En prime, la nouvelle recrue bénéficie
de l'anti-ground shooting (dispositif économiseur d'énergie, évitant de filmer
ses chaussures !) et - nouveauté - d'un écran 16:9 de 2,7'', plus en phase avec les modes
larges que propose le GS500 (16:9; Pro-Cinéma). Toutefois, on peut considérer que ce progrès
est relatif, dans la mesure où le prédécesseur GS400 arguait d'un grand écran
4:3 de 3 pouces (9 cm).
Le GS500 perd en outre l'entrée analogique
(et donc le mode
Pass Through), le niveau Zébra ou la prise casque. On peut considérer que la plupart
des utilisateurs n'en souffriront pas trop. En revanche, le second déclencheur fait aussi défaut
(comme sur l'ex-GS250) alors que l'ergonomie générale du GS500 n'est pas différente
de celle du GS400. Pourquoi une telle éviction ? Mystère. Par rapport à la prise
en main longiligne du camescope, c'est un peu gênant.
Par ailleurs, l'accès aux réglages
diffère. Le GS500 fait désormais appel sur le flanc arrière, à un Joystick
quadri-directionnel (avec bouton-pression de validation au centre) qui sert à la quasi totalité
des opérations. Un Joystick, nous le verrons, qui demande surtout un peu d'habitude mais qui
n'est pas si mal conçu qu'il en a l'air. Certes, les esprits chagrins regretteront sans doute
la bague multifonction du GS400. Mais elle impliquait aussi une certaine habitude pour passer d'un mode
à l'autre, sans se tromper...
Quel que soit le point de comparaison; il convient
de mettre en perspective les tarifs conseillés des deux produits qui attestent d'un écart
de 500 euros (si l'on se réfère au tarif d'origine). Autrement dit, lGS500 est peut-être
moins musclé que son aîné, mais il est aussi moins cher !
En revanche, une question légitime est de
se demander s'il est raisonnable d'acquérir un mini-DV haut de gamme à 1300€, quand
le HDV, compatible mini-DV, et qui permet d'engranger des cartouches pour le futur, est proposé
pour un prix proche. La clientèle très technophile peut aussi hésiter avec les
modèles HDD (disque dur) dont les réglages sont moins ergonomiques et nombreux mais dont
la technologie est séduisante, pour un prix moindre.
Trois capteurs 1/4,7 pouce de 1,7 Mégapixels
chaque (idem GS400), procure une belle résolution de 540 points/ligne environ. Par décalage
de pixels (Pixel Shifting), on parvient à porter la résolution à 4 M pour la photo.
En réalité, seul le nombre de pixels effectifs compte : ce chiffre est de 690000 x3 pour
la vidéo et de 990000 x 3 pour la photo. Le nombre plus élevé de pixels profite
à la photo et au mode 16:9 dont ce modèle est équipé.
L'objectif est coiffé d'un pare-soleil habituel
chez Panasonic et muni d'une vraie bague de mise au point Il revendique une ouverture identique au GS400
de f/1.6-2.8. C'est plutôt meilleur que les f/1.8 qu'on rencontre souvent. C'est un x12, comme
souvent sur le GS400, de longueur focale 3,3-39,6 mm. Le "caillou" est un Leica Dicomar, de
faible aberration, comme celui qui équipe le GS400.
Le capuchon peut être "clipé"
facilement sur le côté, ce qui évite qu'il ne pendouille.
Le viseur couleur du GS500 est étirable
et relevable. Le réglage dioptrique apparaît, sur le dessous, une fois le viseur relevé.
Il existe par ailleurs un réglage propre au viseur dans le Menu, permettant de régler
sa luminosité. C'est excessivement rare !
Exit le grand écran 4:3 de 3 pouces du GS400
qui consommait toutefois une certaine énergie. Désormais, l'écran du Panasonic
GS500 suit la tendance générale du format 16 :9 sans surplus de pixels, ce qui ne le rend
pas excessivement défini. Toutefois, il n'y a pas de gêne ostensible, un écran 2,7''
reste quasiment équivalent en définition à un classique 2,5''. En 4:3, la diagonale
de limage affichée ne mesure plus que 5,5 cm environ. Extérieurement parlant, il
semble presque dépouillé à côté des écrans Sony ou Canon, comportant
un report de zoom, un Joystick ou un start/stop.
Lécran bénéficie de
plusieurs réglages dont un ajustement fin du contraste et de la luminosité. La luminosité
de l'écran est par ailleurs réglable via la touche Power LCD. Enclenchée, elle
augmente la luminosité de l'écran d'un seul coup. L'utilisateur dispose aussi d'un réglage
possible de l'écran en mode Dynamique, ce qui en augmente le contraste.
Autre point vérifié : pas de gêne
sur trépied à l'ouverture de l'écran, c'est arrivé avec des tri-CCD Panasonic
dans le passé !
Enfin, cet écran se retourne en mode de
visualisation nocturne 0 lux, pour se transformer en mini-lampe d'appoint ! La puissance et la portée
(moins de 1,20 mètre) limitent toutefois les possibilités. Mais cette lampe d'appoint
est très appréciable, et pas forcément pour faire de la vidéo mais par exemple,
pour retrouver ses clés de voiture !
La batterie fournie (CGA-DU14) de 1360 mAh offre une durée confortable de 65 minutes réelles (c'est-à-dire avec zooming, allumage/arrêt, etc.) à la seule condition de ne pas activer la fonction Power LCD, et jusqu’à 1H15 avec le viseur. C'est donc un progrès par rapport à celle du GS400 qui ne dépassait guère 45 minutes. C’est un peu mieux que le GS400 ! Et pour renforcer cette autonomie, on peut acquérir en option, la CGA-DU21 (2040 mAh), qui étend la durée à 1H40 réelles.
Comme à l'accoutumée chez Panasonic, le chargeur est séparé, il ne monopolise donc pas le camescope durant la charge. C'est bien vu. Seul bémol, toujours impossible de visualiser le temps d'autonomie précis restant. L'utilisateur doit se contenter d'un simple symbole qui progresse par paliers dégressifs.
La griffe porte-accessoires demeure un plus apprécié.
Elle permet d'y glisser nombre d'accessoires. Parmi ceux de marque Panasonic (ce n'est pas obligatoire),
on recense les micros VW-VMS2E et VMH3E ou les lampes vidéo VW-LDC10E et LDH3E.
Le
système d'éjection s'effectue par le dessus, ce qui autorise de changer de K7 lorsque
le camescope est posé sur un trépied ou sur une simple table. Mais en contrepartie, l'éjection
de la batterie s'opère par le bas ! Il vaut donc mieux être sur secteur.
Le NV-GS500 dispose d'une part d'un Menu classique
qui est un modèle d'ergonomie et de lisibilité. C'est par lui qu'on désactivera
le stabilisateur par exemple. Contrairement à des modèles plus modestes, ce menu ne donne
pas accès aux réglages manuels.
Car l'utilisateur dispose d'une "molette
de sélection de modes" qui remplit ce rôle. Située près du déclencheur,
cette molette comporte pas moins de 5 positions, un Joystick concentrique, un déclencheur et
un curseur On/off sur le dessus. On pourrait faire plus simple !
La molette s'impose comme une "tour de contrôle"
. Son avantage : elle offre l'accès, dune seule main, aux réglages principaux (balance
des blancs à 4 positions, gain, expo ). et annexes (compensation de contrejour, modes Nuit),
qui s'affichent alors sur l'écran. La main gauche se trouve ainsi libérée (par
exemple pour tenir fermement l'écran) et n'est plus obligée de réaliser des acrobaties
en cours denregistrement puisque la main droite soccupe de tout ! Revers de la médaille,
le Joystick est placé au niveau du pouce. C'est un problème car la proximité du
déclencheur entraîne des erreurs.
es automatismes sont fiables, autofocus en tête.
Le GS500 offre par ailleurs un ajustement du gain jusquà +18 dB et un réglage de
louverture de liris par paliers. Les ouvertures sont indiquées, ce qui est assez
rare. En contrepartie, il n'existe pas de réglage de l'obturation lente en manuel (sauf sur
carte).
Les pictogrammes du Menu ne sont pas toujours
très lisibles. La navigation demande une certaine concentration. Mais elle requiert
surtout... un peu d'habitude finalement.
Comme le GS400, le GS500 conserve une bague de
mise au point. C'est agréable ! Mais la comparaison s'arrête là. En effet, le dispositif
du GS500 est moins perfectionné puisque la bague, n'est plus multifonction : ainsi, le zoom manuel
disparaît et c'est le Joystick qui règle le gain, la vitesse d'obturation, et le diaph.
Pourquoi pas après tout...
A noter l'existence du mode "Grain de peau"
qui adoucit les contours de la peau. Un peu gadget à notre goût.
Situé sous l'appareil du côté écran, l'emplacement de la carte mémoire SD (non fournie) est plutôt bien choisi car il ne gêne aucune fonction vitale et ne nécessite pas d'ouvrir l'écran comme c'était le cas sur certains modèles Panasonic. La carte n'est pas fournie d'origine. On peut trouver ça mesquin. Mais il y a fort à parier que l'utilisateur intéressé par le mode Photo du GS500 possède déjà une carte SD ou en achètera une de 256 Mo ou plus.
Le flash intégré, d'une portée de 2,5 mètres, n'est plus de type "pop-up" mais s'aligne sagement sur le côté. Il adopte toujours 3 positions et 3 puissances d'éclair. Il est aussi muni d'un anti-yeux rouges.
La taille d'image peut aller jusqu'à 4 Mp. Le Flash adopte 3 positions.
L'anti yeux rouges n'a pas été oublié. On trouve aussi un très rare effet diaph (sonore).
ci-dessous images respectivement filmées en 4:3 et 16:9.
Contrairement à d'autres modèles tri-CCD
Panasonic, le GS500 ne recadre pas l'image (crop and zoom) mais utilise la pleine largeur du capteur.
Du coup, le mode 16:9 est plutôt de bonne facture.
Il n'existe pas d'accès direct au mode 16:9
(comme chez Sony ou Canon exemple) mais on ne change pas forcément de format tous les jours (sauf
en test !).
Ici, l'écran est de 2,7 (6,9 cm) mais du
coup plus petit avec une image 4:3 (environ 5, 5 cm) en raison des bandes noires latérales que
cela génère (à l'affichage uniquement) de part et d'autre de l'écran.
L'utilisation
du mode 16:9 accroît n'accroît l'angle de champ de manière significative comme en attestent
nos images comparatives.
On retrouve aussi comme sur le GS400 le mode pro-Cinéma
qui descend notamment la vitesse à 1/25e de seconde pour procurer un effet de flou qui peut plaire.
Question de préférence personnelle.
La progressivité du zoom X10 est toujours aussi bonne sur les tri-CCD Panasonic en termes de rapidité ou de lenteur. il faut à peine 2,5 sec. au GS500 pour balayer l'ensemble des focales, et jusqu'à 45 sec. (!) si l'on choisit la vitesse la plus lente.
A noter l'existence d'un mode Télé Macro amenant directement le zoom à x10.
L'angle de champ minimal reste limité à un 45 mm en 4:3, ce qui est dans la fourchette basse des tri-CCD et pourrait s'avérer insuffisant pour le vidéaste averti. Le mode 16:9 fait un peu mieux avec 41,8 mm. Alternative possible: un convertisseur grand-angulaire x0,7 comme le Panasonic VW-LW4307WE. (ou 4307ME) pour 115 à 170 euros environ. Pour tout autre objectif, retenez que le diamètre de filetage du camescope est de 43 mm.
A noter que le GS500 a les mêmes focales que son prédécesseur : 3,3-39,6 mm.
A droite, le même point de vue au zoom x10 (zoom extensible à x500), soit l'équivalent d'un 540 mm en 4:3 en équivalent 24x36. Un ratio raisonnable. Du coup, le stabilisateur optique excelle à compenser les bougés, même lors de panoramiques au télé. Par ailleurs, il ne dégrade aucunement l'image. Notez que le stabilisateur est aussi exploitable avec le mode Photo.
Le micro se situe désormais sous l'objectif
et décalé par rapport au flash intégré. Il capte peu le zoom ( excepté
aux vitesses de motorisation les plus rapides) ou les bruits de fonctionnement de la section magnétoscope.
La texture des voix est aussi bien restituée. Attention, selon la prise en main, l'index de la
main gauche peut venir masquer le micro et étouffer les sons si l'on n'y prend garde.
La prise Micro cohabite avec la prise Remote, nécessaire
à la télécommande filaire.
Deux spécificités, l'une propre à
la gamme Panasonic, le micro-zoom (débrayable), permet au niveau sonore de sadapter à
la focale utilisée. Mais attention, il génère du souffle au maximum du télé.
L'autre spécificité, davantage propre au GS500, est une fonction Griffe Mic qui réduit
parasites et bruit du vent lorsquun micro optionnel est connecté.
Toujours côté audio, la prise Micro
n'a pas été oubliée mais la prise casque, si ! Pourtant le modeste GS180 en dispose.
Dans le Menu, on ne retrouve pas de "bifurcation" entre la sortie Jack et la prise casque.
Bizarre. Seule consolation, les Bargraphs audio sont présents sur écran ou dans le viseur. Et le haut-parleur tente de pallier ce
manque.
Le niveau sonore est réglable en Pause (sans
réglages distincts gauche/droite) avec deux positions possibles : soit un débrayage complet
du Contrôle automatique du Gain audio (CAG), soit son maintien tout en ajustant les niveaux: Bien
entendu, on peut aussi laisser le son sur le mode Auto. A la lecture, on peut choisir - comme sur de nombreux
camescopes - la voie gauche, la voie droite ou le Mix des deux.
Le filtre coupe-vent fait aussi partie de la panoplie
audio, mais tenez compte que son activation atténue fortement les basses fréquences.
La sensibilité du GS500 reste en retrait de modèles connus pour leur bonne sensibilité comme le Canon MVX460 en "amateur" ou les FX1/VX2100/AG-DVX100 en "pro", mais à +18 dB, le grain est assez peu présent, le rendu de l'image n'est pas désagréable. Par rapport au GS400 ou au GS250, la comparaison avec le GS500 ne montre pas de différence très marquée. Tout au plus distingue-t-on un léger mieux du GS500 sur le GS250.
Grâce au Joystick, en mode Manuel, on peut faire varier l’obturateur manuel, ce qui permet de booster le gain à +18 dB alors que le mode Auto le plafonne à +15 dB. On peut également l'abaisser jusqu’à O dB si les conditions d'éclairage sont suffisantes ou si l'on veut améliorer le rapport signal/bruit.
Les modes semi-auto du GS500 autorisent deux types de visions couleurs nocturnes dont une à O lux. Celle-ci exploite des vitesses lentes et sera donc utilisée comme effet spécial ou en l'absence totale de mouvements.
Dans le mode Nuit, l’écran retourné sert de lampe d’appoint, c'est un éclairage certes modeste mais bien vu.
On retrouve ici sur cette télécommande IR les mêmes fonctions que sur la télécommande filaire, enrichie des commandes classiques de transport de bande, accès au Menu, doublage son ou Affichage sur écran. A noter la progression possible image par image, en avant comme en arrière, et le mode Ralenti.
Cette télécommande filaire dite "style libre", pratique pour les gauchers, est fournie avec tous les Panasonic. Elle permet de déclencher l'enregistrement ou le mode Photo dans des positions un peu acrobatiques, ou même de zoomer. Celle-ci est dépourvue du microphone annexe, présent sur l'ex-GS400, dont la qualité suffisait à 'enregistrer une voix par exemple. La téléc. filaire ne remplace pas la télécommande IR (ci-dessous), mais vient la compléter.
Une solution pratique pour retrouver le dernier espace vierge de la bande : la recherche de blancs.
On retrouve l'AGS (Anti-Ground Shooting), dispositif économiseur d'énergie puisqu'il évite de filmer ses chaussures ! En effet, dès qu'il est brutalement incliné vers le bas, le camescope s'arrête de fonctionner. Il suffisait d'y penser !
La connectique, située pour partie derrière l'écran, se compose d'une prise DV, A/V, et USB2. La prise DV est entrée/sortie mais pas l'analogique, ce qui ramène le GS500 au niveau du modeste GS150 de 2005. La conversion du signal (Pass Through) est donc impossible. C'est assez difficile à comprendre, d'autant qu'il faut noter la présence heureuse d’une prise s-vidéo et du câble (fourni) qui va avec. Peut-être la fabricant considère-t-il que l'époque de l'analogique est de plus en plus révolue. Le GS500 conserve fort heureusement l’entrée DV, ce qui est tout de même l'essentiel.
Des logiciels en version allégée (LE), surtout dédiés Windows XP ou 2000, viennent en soutien de la gestion USB tels que SweetMovieLife 1.0E, (sous-titres et musique) ou Motion DV Studio 5.6E LE. A noter leur compatibilité nouvelle avec le format 16 :9.
Le GS500 reste bien sûr compatible Mac/PC, via sa prise Firewire pour acquérir ses rushes, exporter son montage ou via l'USB pour les vues stockées sur carte mémoire. A noter qu'on peut se servir du Panasonic GS500 comme Webcam à raison d'une image en 320x240 à 6 /images/seconde.
Côté effets spéciaux, seuls sont disponibles un fondu au noir et au blanc, on n'en s'en plaindra pas !
Notez enfin la prise Remote associée à celle du Micro, et destinée à brancher la télécommande filaire. Pas de prise casque en revanche, alors qu'elle est accessible via le Menu du plus modeste GS180 et que le GS500 possède pourtant un réglage manuel de l'audio ! Difficile à suivre…
Attention, le câble DV n'est jamais fourni (même sur les hauts de gamme) tout comme la K7 !
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