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Panasonic HDC-SD1 / HDC-DX1

L'AVCHD sur carte SD : un avenir prometteur ?

 

08 juin 2007 par Thierry Philippon

 

Panasonic HDC-SD1
 
Panasonic HDC-SD1
HDC-SD1
Format : AVCHD sur carte SD
Panasonic HDC-SD1
Panasonic HDC-SD1

Le Panasonic HDC-SD1 est un modèle qui fonctionne à l'identique de n'importe quel camescope, excepté qu'il revendique deux originalités marquantes. La première est de stocker les images animées ou fixes sur carte SD de 4 Go (fournie, de classe 2), la seconde d'enregistrer sur cette carte un signal HD 1080i en AVCHD.


Le concept de carte SDHC (*) appliqué à ce camescope, est un peu l'aboutissement d'un rêve. Dans leurs laboratoires, les ingénieurs ont toujours cherché à obtenir une qualité optimale en HD sur un support de très faible encombrement, réinscriptible bien sûr, minimisant la surchauffe (par rapport à la technologie du disque dur) et dénué de mécanique. Ajoutez la capacité de supprimer une scène inutile à tout moment et un accès non-linéaire bien évidemment. Eh bien, tout cela est désormais réuni ! En outre, la carte SD s'impose déjà comme un standard reconnu et ses perspectives de stockage sont alléchantes. Dès début 2006, on annonçait le développement de cartes SDHC pouvant aller jusqu'à 32 Go (c'est la limite). Le calendrier devrait être à peu près le suivant : commercialisation d'une 8 Go en août 2007, 16 Go en octobre 2007 et 32 Go "courant 2008". De quoi faire… A noter qu'il existe des cartes SD de classe 2, de classe 4 et de classe 6 correspondant à des taux de transferts différents. La carte fournie avec le SD1 est seulement de classe 2. Une carte SDHC 4 Go classe 4 vaut entre 45€ et 60€. Panasonic poursuit bien sûr ses efforts visant à améliorer les vitesses de transfert de données.


(*) la limite des cartes SD étant de 2 Go, seule la SDHC pouvait se justifier. HC signifie "High Capacity". Voir article d'Antoine Désir.


Les camescopes à carte ne sont pas une nouveauté en soi : en mpeg-2 tout du moins, on connaît par exemple déjà les modèles Panasonic SDR-S150 et le "bijou" SDR-S10. Chez Sony, le CX6, qui exploite une Memory Stick, est aussi sorti à l'été 2007. Sanyo et son Xacti HD2 ou encore Samsung qui annonce des sorties prochaines, sont également partie prenante.


Les seuls handicaps de la carte sont :


  • sa vitesse de transfert qui dans le cas présent, doit être suffisante pour supporter le flux plutôt exigeant imposé par la vidéo HD.
  • sa relative cherté. Certes la carte SD est réinscriptible et effaçable à volonté mais il peut s'avérer intéressant de conserver les images enregistrées sur la carte à titre de sauvegarde. On retrouve là la même problématique qu'avec le camescope HDD.
  • j'ajouterais qu'elle est facile à perdre comparée au DVD ou à la cassette (et encore plus par rapport au disque dur intégré !) mais il suffit probablement d'y prêter la même attention qu'à un APN...

**********


Promu en 2006, l'AVCHD se caractérise par sa capacité à enregistrer un signal de haute qualité en HD en 1080i selon la norme MPEG-4 AVC (H.264), considérée comme au moins égale en qualité au HDV mais surtout nécessitant 2 à 3 fois moins de place en termes de quantités d'informations (le signal est très compressé). Il faut une grande puissance de calcul pour décoder un signal AVCHD. A noter que le HDC-SD1 n'enregistre pas parallèlement en MPEG-2 SD comme c'est le cas sur d'autres modèles tels que le Sony CX6 qui se positionne potentiellement en concurrent. Du coup, le 4:3 n'existe pas sur le SD1 !


Selon l'un des 3 niveaux de qualité affectés au SD1 (HF, HN, HE), le débit de données du camescope varie en terme de vitesse (13 Mbps ou 9 Mbps ou 6 Mbps, ce sont des moyennes) mais aussi en terme de "type de débit ". Ainsi le format HF est-il à débit constant alors que les formats HN et HE sont à débit variable. L'avantage du débit constant est d'offrir, comme son nom l'indique, un débit uniforme : les séquences bénéficieront d'un signal de la plus haute qualité en toutes circonstances. L'inconvénient est que le fichier prend plus de place et réduit d'autant le temps d'enregistrement.
A noter que chez Sony, on dispose de 4 niveaux de qualité à débit quasi équivalents à ceux du Panasonic : 12 à 5 Mbps en XP, HQ, SP et LP. Chez Sony par contre, tous les formats sont à débit variable.


Annoncés au Japon, les HDC-SD3 et HDC-DX3, successeurs présumés des SD1 et DX1, et enregistrant en Full HD, ne seront pas commercialisés en Europe.



> LIRE LA SUITE : Le test

Le test

 


Panasonic HDC-SD1  
Panasonic HDC-SD1

Le SD1 surprend par son allure. C'est un modèle très allongé (49,9 x 96,7 x 80,4 mm) mais surtout très "dépouillé", sans viseur ni griffe porte-accessoires malheureusement. Pour ainsi dire, aucun bouton n'affleure à la surface quand on découvre l'appareil écran fermé. Le gros sélecteur de modes à l'arrière en impose tout comme le confortable et grand écran 3'' (7,6 cm, 16:9) tandis que la connectique se répartit sur les flancs gauche et droit. Celle-ci est bien musclée puisqu'elle comporte 4 sorties vidéo (HDMI, composantes, USB, A/V) + une étonnante entrée Micro (sans griffe pour le fixer donc, cherchez l'erreur…). Situé sur le flanc gauche, le logement pour carte SD du SD1 est bien protégé par un volet vertical coulissant. Tellement bien d'ailleurs que si vous oubliez de fermer le volet, le camescope vous en informe immédiatement !


Le zoom x12 est agréable. Sa puissance est appréciée car les tri-CCD plafonnent le plus souvent à x10. En outre, le SD1 argue d'un stabilisateur optique qui m'a paru efficace dans bien des situations. La focale minimale de l'objectif équivaut à 38,5 mm, une valeur bien meilleure que sur d'autres tri-CCD mais qui nécessitera le cas échéant un grand-angle additionnel de diamètre 43 mm (pas facile à trouver). L'objectif, la ratio du zoom et le diamètre du filetage ne sont pas sans rappeler les célèbres NV- GS400/GS500 en mini-DV.


L’image du SD1, enregistrée en 1440x1080i d'après nos indications, ne serait pas en Full HD à l'enregistrement. Elle est néanmoins très bien servie par ses 3 capteurs (3x560kp), technologie sur laquelle Panasonic n'a plus grand chose à prouver. Ajoutez le « caillou » signé Leica. A noter l'absence totale de Smear bien qu'il ne s'agisse pas d'un capteur CMOS. La colorimétrie est par ailleurs respectée et le rendu des teintes chair s'avère plutôt correct. Toutefois, après avoir pu essayer différents camescopes AVCHD, la qualité de compression me convainc moins qu'en HDV sur les images très mouvantes, notamment sur les panoramiques ou les travellings. Il se pourrait bien que la limitation du débit à 13 Mbits en soit à l'origine… Et on sait de toutes façons que l'AVCHD est encore "tâtonnant", le risque a été pris de commercialiser les produits. L'avenir nous dira si ce risque était raisonnable.


Côté sensibilité en revanche, le SD1 se défend plutôt bien avec un fourmillement assez peu prononcé comme en atteste cet exemple. Ce relatif bon résultat est sans doute à mettre à l'actif du "gros" capteur 1/4e de pouce du SD1 (par rapport à un 1/6 pouce). Le mode "Vision nocturne couleurs", annoncé pour 2 lux, impose en réalité l'utilisation d'une vitesse très lente d'obturation, provoquant les saccades habituelles. Hors ce mode, l'éclairement est de 6 lux. Pas de torche en revanche.


La prise en main du SD1 est agréable : avec ses 490 grammes au complet, l’appareil n'est ni trop lourd ni trop léger (ce qui nuirait à la stabilité). Différentes préhensions sont possibles : par exemple, la main gauche peut venir se plaquer contre l'appareil, le pouce reposant sur le sommet, tandis que la main droite actionne le zoom par le dessus, sans se glisser dans la dragonne. L’écran LCD 16:9 de 3’’ (7,6 cm) est un régal de par ses dimensions et sa résolution. Il compense un peu l'absence de viseur. Cependant, il n'est pas visible si l'angle de vision n'est pas frontal. J'ai ainsi été gêné lors d'un simple panoramique vertical sur pied.


Côté réactivité, le délai de déclenchement est quasi immédiat et la mise en route s'avère remarquablement véloce (1,7''), le support rendant possible cette rapidité. En outre, après extinction du camescope ou depuis la position de Veille, il suffit d'ouvrir l'écran du SD1 pour qu'il soit de nouveau opérationnel en ce temps record. Très pratique pour réagir face à l'imprévu ! Autre point de satisfaction, pour balayer l’ensemble des focales, le SD1 peut faire preuve d'extrême lenteur. Seule lacune, il ne connaît pas les vitesses rapides foudroyantes comme on les côtoie sur les camescopes HDD Sony par exemple.  


Panasonic HDC-SD1

On retrouve le Joystick à l’arrière mais sa taille a été réduite à la Jivaro ! Pas évident à manipuler… En revanche, on le confond moins avec le déclencheur, ce dernier étant visiblement situé dans l'axe du camescope. Rappelons que le Joystick régit l'accès aux réglages (balance des blancs, compensation de contrejour), mode Nuit, Grain de peau… ou encore le mode Lecture. Une fois l’appareil en Manuel (via le sélecteur du flanc gauche), le Joystick a pour effet de superposer à l’écran une roue à partir de laquelle on opère les réglages. C’est aussi par ce biais qu’on accède au mode « Lecture » qui affiche alors les imagettes des séquences.


Sur le reste, le SD1 développe les mêmes petits plus que les autres tri-CCD de la marque comme les NV-GS320 ou NV-GS230 en mini-DV ou VDR-D310 en DVDCam : chargeur externe, mini-pare-soleil, "vision nocturne", micro-zoom. En revanche, pas de griffe comme nous l'avons vu. L'autonomie est faible : 40 minutes seulement en réel et la conception du logement interdit d'introduire une batterie de plus forte capacité. Vous en serez quitte pour acquérir une seconde batterie VW-VBG130/1320mAh. Bon point pour le chargeur séparé en revanche. Notez que la charge dure 2H20.


La plupart des fonctions vidéo bénéficient au mode Photo, stabilisateur optique compris. Le Flash est présent avec 3 niveaux de puissance réglables. Via le Joystick, on accède à l'anti yeux-rouges et aux différents modes (Flash forcé, pas de Flash, etc.). On ne dispose que d'une seule taille d'image en 1920x1080 (2,1 Mp) selon 2 qualité. Au moins voilà qui est clair, la photo n'est pas le gros point fort du SD1. Mais s'en plaindra-t-on vraiment ?


Côté erreurs de conception et petits détails agaçants, on vous en a trouvés quelques-uns qui sont gratinés ! Par exemple, si vous éjectez la batterie un peu rapidement, elle peut tomber en chute libre. Rien que ça. Imaginez votre tête si vous êtes au-dessus du Canyon du Colorado ! L'écran n'est secondé d'aucun viseur : on ne cesse de répéter que c'est une erreur sur des modèles hauts de gamme. Passons, les fabricants sont sourds aux remarques des experts qui ne vont pas dans le sens du poil, ils ne viendront pas se plaindre si leurs produits ne se vendent pas bien… Moins grave mais juste crispant, le volet en plastique de la connectique du flanc gauche, selon sa position, vient heurter l'écran. Globalement, il y a beaucoup de monde dans cette zone entre la zone de la connectique et le logement pour carte qui auraient mérité d'être mieux séparés. Enfin, la petitesse du Joystick se destine une fois de plus à des mains… non-européennes. :-) La mondialisation a encore du progrès à faire.


Le SD1 est aussi décliné en version DVDCam sous la référence HDC-DX1. Les 2 modèles disposent strictement du même capteur et qualités d'enregistrement. Le DX1 est toutefois nettement plus "joufflu" en raison de l'encombrement du DVD et profite d'un viseur. Notez que le HDC-SD1 a récemment bénéficié d’un repositionnement tarifaire qui a fait chuter son prix de 200 euros (de 1300 à 1100 euros). Dans le même temps, le prix du DX1 a baissé de 100 euros (de 1100 à 1000 euros). Mieux : ces deux produits sont dorénavant vendus avec le logiciel Pinnacle Studio 12, qui permet notamment le montage en AVCHD.


Panasonic HDC-SD1   Panasonic HDC-SD1
Panasonic HDC-SD1   Panasonic HDC-SD1

Cinq modes Scènes sont disponibles. Les automatismes sont rarement pris en défaut.
On peut ajuster le gain ou les vitesses d’obturation rapides, ou même faire appel à la fonction de Compensation de Contrejour ou régler les teintes chair. Pas de vitesses lentes cantonnées au 1/25e pour le seul mode Photo. L’iris argue de 16 paliers possibles de f/1,8 à f/1/16. Côté mise au point, pas de bague bien sûr. L'accès manuel est subordonné à un enclenchement du petit sélecteur Auto/Manual/Focus du flanc gauche puis à une manipulation que je juge un peu fastidieuse au moyen du déplacement latéral du Joystick. Toutefois une aide à la MAP (grossissement du centre) s'avère aussi précieuse qu'efficace.


L’audio est servi par un micro 5.1 de bonne facture qui restitue très correctement les sons, voix humaine comprise. L’appareil est évidemment très discret d'un point de vue sonore, la carte ne faisant pas autant de bruit qu'un DVD ou un tambour de bande. Le micro-zoom, propre à Panasonic, est présent, tout comme la prise micro Jack 3,5 mm (bien vu !) et le filtre coupe-vent. Particularité notable du SD1 : un réglage du son est présent, offrant de moduler les niveaux sonores sur une échelle allant de -30 à + 6 dB (0 étant la position par défaut). Un Vu-mètre s'affiche alors à l'écran. On peut même régler le son en manuel tout en conservant l'AGC (Contrôle Automatique du Gain). Bien sûr, on peut préférer le tout-automatique qui fonctionne aussi très bien. Au total, on dispose donc de 3 modes audio. Pas mal...


En vrac, signalons aussi l'existence d'une grille de référence, façon Canon, permettant de mettre un horizon "à niveau". On retrouve l'AGS, cher à la marque, dispositif évitant de filmer ses pieds par accident. En mode Lecture, on peut bien sûr supprimer des séquences (mais pas les déplacer).


L’accès aux ports A/V, composantes ou Micro, peut être discuté car sur pied, on ne peut pas ouvrir le volet. Pas d’entrée vidéo évidemment.


Pour la gestion des images, un logiciel HD Writer ver. 1.0E pour PC (non testé*) est proposé mais il reste spécifique à Panasonic, ignore le Mac et ne semble même pas compatible avec Windows Vista (Windows 2000 et XP seulement). Pour connaître les autres logiciels compatibles avec l'AVCHD et les implications que cela comporte, référez-vous au chapitre complet que nous avons consacré à cette question à l'occasion de la sortie du camescope Sony HDR-SR7.


(*) D'après Panasonic, le logiciel HD Writer 1.0E fourni, vous permet de graver des images d’une carte mémoire SDHC/SD sur un disque DVD. Téléchargez simplement les images de la carte mémoire sur PC, puis suivez les instructions du logiciel. Une fois que l’opération est terminée, vous pouvez utiliser le disque DVD dans un lecteur de disque blu-Ray.


Panasonic HDC-SD1 Panasonic HDC-DX1
HDC-SD1
 
HDC-DX1

Différences HDC-SD1 et HDC-DX1


Les différences sont assez simples puisque le DX1 n'est autre que l'équivalent du SD1 à ceci près qu'il exploite la technologie du disque en lieu et place de la carte SD. Du coup, il est nettement plus joufflu (250 grammes de plus et des dimensions sensiblement supérieures), d'autant qu'il est muni d'un viseur dont le SD1 est dépourvu comme nous l'avons vu. Compatible DVD-Ram, DVD-R/-RW et DVD-R DL, le DX1 est aussi moins cher de 100 euros par rapport au SD1. Ses photos s'enregistrent uniquement sur carte SD et non sur le disque DVD à l'inverse du HDC-SD1 qui enregistre vidéos et photos sur le même support (la carte SD).


A noter enfin l'existence de l'AG-HSC1U, version pro du HDC-SD1, fournie avec un DD externe de 40 Go.


 



(Panasonic HDC-SD1 / HDC-DX1)

Qualité Photo

Sony DCR-DVD505 mode Photo Sony DCR-DVD505 mode Photo
Sony DCR-DVD505  Memory Stick
Sony DCR-DVD505  retardateur

Contrairement au DVD403 en 2005, le mode Photo du DVD505 bénéficie d'un logement pour Memory Stick Duo qui vient appuyer les capacités de stockage de vues fixes du DVD. La capacité de stockage sur le Memory Stick dépend bien sûr de la contenance de la carte.


Au programme également, le Retardateur qui fonctionne tant en mode Photo que Vidéo. L'enregistrement ou la capture se déclenche au bout de 10 secondes environ.


Sony DCR-DVD505 mode Photo     Sony DCR-DVD505 mode Photo

Le flash intégré, d'une portée de 30 cm à 2,5 mètres, peut adopter 3 puissances d'éclair. L'anti yeux rouges est également de la partie. Les DVD405 et DVD404 ont également un flash.


Sony DCR-DVD505 mode Photo Sony DCR-DVD505 mode Photo

La résolution Photo du DVD505 est prometteuse puisqu'elle peut aller jusqu'à 2304 x 1728 en 4:3 et 2304 x 1296 en 16:9 puisque le mode Photo est désormais disponible à ce format. Le tout en 2 qualités Haute et Standard. On est très loin des 1152 X 864 du premier camescope DVD Sony DVD201 ! Du coup, le mode Photo peut stocker - sur un DVD-RW (un tout petit moins sur un DVD-R) jusqu'à 670 vues en résolution 4M de pixels et qualité Haute et jusqu'à 8600 vues en 640x480 et mode standard. La quantité de vues stockables sur un DVD+RW est un peu moins grande : 590 vues fixes en 4M de pixels et qualité Haute, 3800 vues en base qualité en VGA.


Parmi les actions très spectaculaires, on peut enregistrer jusqu'à 3 vues fixes pendant la prise de vues vidéo sans stopper l'enregistrement vidéo, ni passer dans un mode Photo quelconque. C'est ce que Sony appelle le mode Dual Record : les vues saisies sont capturées en 3M de pixels (2016x1512 pixels en 4:3 et 2016x1134 pixels en 16:9) et s'enregistrent sur DVD ou sur Memory Stick en fonction de votre choix antérieur.


Les fonctionnalités Photo bénéficient aussi de divers raffinements tels que la faculté de copier le contenu du disque sur le Memory Stick et vice versa. Pas de mode Bracketing en revanche.


Sony DCR-DVD505 photo


Sony DCR-DVD505 photo


Sony DVD505 en 2016 x 1512 pixels
APN 5 millions de pixels en 2048 x 1536 pixels

Comparaison à résolution proche (autour de 3M de pixels), entre une vue produite par le DVD505 et celle réalisée avec un APN. Malgré la qualité du capteur du DVD505, la prise de vues photo reste en retrait.


Sony DCR-DVD505 photo Sony DCR-DVD505 photo
Sony DCR-DVD505 photo

Autres vues en 2016x1512 pixels en 4:3 (ci-dessus) et 2016 x 1134 pixels en 16:9 (ci-contre). A noter la résolution est limitée à 2016 x1512 comme ici, si on reste en mode "film" alors qu'elle s'étend à 2304x1728 si on commute en mode "Photo".


Sony DCR-DVD505 photo Sony DCR-DVD505 photo
Sony DCR-DVD505 photo

Autres vues dans la résolution maimale en 2304 x 1728 pixels en 4:3 (ci-dessus et ci-contre), en utilisant le mode Photo.


Les DCR-DVD405 et DVD404 se contentent d'une résolution un peu moins élevée à 2016x1512 en 4:3. Ils ne disposent pas non plus du mode Dual Record.


(Panasonic HDC-SD1 / HDC-DX1)

montage en AVCHD

Voir article "Comment monter en AVCHD sur PC ou Mac ?"


(Panasonic HDC-SD1 / HDC-DX1)

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