RÉSULTATS QUIZ MAGAZINEVIDEO - MANFROTTO

Rarement une expression imagée se sera imposée autant que celle de micro-cravate. L'origine datée de ce mot composé se perd un peu dans les méandres de l'histoire de l'enregistrement audio-visuel. Une certitude : le mot cravate fait référence à la propriété de ce type de micro de pouvoir s'accrocher facilement, par exemple à une cravate. Le terme est apparu à la faveur des interviews officielles pour lesquelles l'interviewé portait une cravate. Aujourd'hui le terme a subsisté bien que le micro-cravate puisse s'accrocher à tous types de vêtements - chemise, revers d'une veste, pull-over - diversifiant du même coup l'image originellement masculine de la cravate et de l'interview…

D'un point de vue technique, le micro-cravate est un micro de type omnidirectionnel ou cardioïde, dont la capsule délivre généralement un son de haute qualité malgré sa petite taille. Il peut être à fil ou HF. Il est forcément de petite taille (exemple : 9 x 21 mm) et léger (il existe des modèles de moins de 5 grammes) , à la fois pour rester discret et pour s'accrocher sans endommager le vêtement sur lequel il est fixé. Il fonctionne sur piles ou alimentation Phantom. les prix sont très élastiques : à partir de 15 euros pour les plus rudimentaires jusqu'à 300 euros et plus pour les micros-cravates professionnels.

Un super micro
Un micro à directivité très étroite
Un micro 5.1
Un micro omnidirectionnel

Les micros se caractérisent entre autres par leur directivité, autrement dit la sensibilité en fonction de la provenance du son. Un micro canon, par analogie avec l'engin de guerre, est très allongé vers l'avant (on dit parfois très "pointu"), sa directivité est donc très étroite. C'est un micro idéal pour capter des sons d'oiseaux ou pour isoler des conversations éloignées. Pour autant, un micro canon captera tout de même un peu votre voix si vous parlez tout en filmant car le micro n'a pas de cerveau à même de filtrer totalement les sons environnants. De plus, il ne réagira pas de la même façon selon la fréquence de votre source sonore. Plus elle sera aiguë, plus la directivité sera forte.

On trouve aussi l'appellation "micro semi-canon".

Il possède une colonne centrale
Il pèse 7 kg
Il est compatible avec les caméras ENG
Il est en plastique

La colonne centrale d'un trépied est ce qui permet à un opérateur de prise de vues - sans toucher aux jambes du trépied - d'abaisser ou de rehausser la hauteur du trépied, selon une élévation variable. Celle du Manfrotto 755XB dispose d'une boule intégrée de mise à niveau de 50mm permettant une mise à niveau rapide (plage d’inclinaison ±15°).

Vinten
Manfrotto
Gitzo
Rycote

C'est naturellement le fabricant Rycote qui est l'intrus. Rycote est principalement connu des professionnels et amateurs de vidéo pour ces bonnettes anti-vent en poils et ses suspensions pour micros. Il propose des bonnettes anti-vent pour tous types de micros, y compris des micro-cravates. En aucun cas il ne fabrique de trépied.

Pour sa part, Vinten, tout comme Manfrotto ou Gitzo, fabrique des trépieds depuis la 2e guerre mondiale. Ils font tous partie du groupe anglais Vitec Group band.

Des 4 locutions, seule la dernière était relativement facile car elle est couramment employée en vidéo et s'emploie également en photo. Il s'agit de Fromage blanc, terme utilisé pour désigner un visage filmé qui pâtit d'une balance des blancs erronée ou en photo, d'un capteur réagissant mal à des zones fortement contrastées lors d'une prise de vues au Flash. Le visage dégage alors des zones blanches disgracieuses en partie surexposées, par exemple au niveau des joues, du menton ou du front, tandis que l'arrière-plan est plongé dans l'obscurité. La zone "grillée" peut s'apparenter à la couleur d'un fromage blanc, d'où l'expression.

Nettement moins connu, vous avez été nombreux a être persuadés que le hareng rouge (Red Herring en anglais) n'existait pas en vidéo. Il s'agit pourtant d'une expression scénaristique apparemment née dans les studios d'Hollywood. Un hareng rouge consiste à entraîner le spectateur sur une fausse piste qui va l'induire en erreur. Un des exemples les plus précurseurs du hareng rouge (sinon le plus précurseur ?) est celui de Psychose d'Alfred Hitchcock. L'héroïne, Janet Leigh, est ainsi assassinée sans que le spectateur ne s'en doute une seule seconde, embarqué sur une toute autre piste. La fausse piste est habilement renforcée par le fait que Janet Leigh, déjà connue pour de nombreux rôles dans les années 50 (Les 4 filles du Dr March, l'Appât, la Soif du mal...) joue l'héroïne principale du film. Or, on ne tue jamais l'héroïne aux 1/3 du film (à la rigueur à la fin !). On peut trouver une longue description du hareng rouge dans l'excellent e-book de Bernard Tremege "Le livre du scénario" disponible sur le site de l'auteur pour 1,80 euros (pdf de 500 pages) ! Pourquoi hareng rouge au fait ? On peut y voir une parabole en raison de l'odeur très forte de ce hareng fumé qui peut venir masquer toute autre odeur environnante...

Pour sa part, l' étreinte fatale est une locution que certains connaissent aussi sous l'expression "étreinte mortelle". L'une comme l'autre sont une expression informatique désignant deux applications qui se télescopent et font buguer l'ordinateur. On parle en anglais de "Deadly embrace" ou encore "Deadlock". Des applications qui se télescopent surviennent parfois en vidéo lorsqu'on utilise des logiciels qui entrent en conflit, ou deux versions d'une même application.

La seule expression n'étant jamais utilisée dans un cadre vidéo, cinéma ou informatique restait donc "Haricot vert".

L'intrus était bien sûr la résolution 1024x576 qui correspond à une résolution SD 16:9 en pixels carrés.

Par déduction, seule la 3e réponse "La cartouche fluide", mentionnée en anglais ("fluid cartridge") sur le site Manfrotto à propos du monopode 561BHDV, pouvait faciliter les panoramiques, les trois autres réponses n'ayant aucune incidence directe sur la fluidité des panoramiques.

Le NTSC est le standard en vigueur aux Etats-Unis et au Japon, face au standard Pal en Europe. NTSC correspond officiellement aux initiales National Television System Committee. Mais les détracteurs de ce standard, réputé inférieur au Pal, ont réussi à véhiculer une telle image négative qu'ils ont transformé les initiales en "Never Twice (the) Same Color". Cette expression que l'on peut traduire par "Jamais deux fois la même couleur" s'explique par les décrochages de couleurs que subissait parfois le standard NTSC. Aujourd'hui cette notion de standard est moins déterminante pour la prise de vues et le montage dans la mesure où le visionnage des images s'effectue beaucoup sur ordinateur (insensible aux standards), même s'il est toujours conseillé d'acheter un camescope Pal en Europe.

Ce terme méconnu du grand-public renvoie pourtant à une situation que le vidéaste ou le cinéaste peut fréquemment rencontrer en tournage extérieur. La fausse teinte se définit comme une variation de l'intensité et de la qualité de la lumière en raison du passage d'un nuage devant le soleil. Du coup, pour résoudre le problème, soit il faut attendre que le nuage passe, attente qui n'est pas toujours possible lorsque le timing du tournage l'en empêche ou que chaque minute coûte cher (cas d'une grosse production). Soit on s'en contente et le raccord entre deux scènes devient très difficile puisque le rendu colorimétrique sera différent. Certains filtres de montage permettent d'atténuer ou de corriger la fausse teinte mais comme souvent, l'idéal est de filmer sans subir ce désagrément.

Pour tout ce qui a trait aux définitions de cinéma, on pourra se référer à l'ouvrage très complet d'André Roy "Dictionnaire général du cinéma - du Cinématographe à Internet" distribué seulement dans certaines librairies spécialisées. Voir site de l'auteur.

C'est un "effet de montage" absolument passionnant qu'un grand théoricien russe Lev koulechov a décortiqué (dès 1922 !) en donnant son nom à cet effet. L'effet Koulechov consiste à générer différentes interprétations d'une séquence sur un spectateur en filmant la même image d'un visage plus ou moins (in)expressif et en faisant suivre ou précéder ce visage d'une image différente. Koulechov choisit donc un visage d'homme moyennement expressif et fait suivre tour à tour ce visage d'une soupe dans son assiette, d'un bébé dans son cercueil et d'une jeune femme partiellement dévêtue. A chaque fois, le spectateur que nous sommes associe volontiers l'expression du visage à des sentiments très différents : la faim, la tristesse, le désir.

On trouve également ici un exemple d'effet Koulechov dans l'excellent DVD de Philippe Masson "Les trucs faits la Maison".

Cette mise en lumière du théoricien russe a bien évidemment des implications en cascade, y compris de nos jours, à commencer par l'influence dans un montage des associations d'images qui peuvent modifier la façon dont on interprète une séquence. Une fois ce principe habilement mis à exécution, rien n'empêche ainsi de manipuler les spectateurs avec des images de reportage qu'on associe à sa façon pour distiller tel message plutôt qu'un autre. Bref, l'effet Koulechov est une belle illustration que le montage n'est jamais innocent.

Ce procédé n'a pas été repris de suite. On en trouve un très bel exemple chez Steven Spielberg dans Jaws (les Dents de la mer, 1976). Roy Scheider (Brody), policier de la petite ville d'Amityville, est sur la plage, à surveiller un éventuel requin lorsqu'une attaque se produit avec des enfants. Pour exprimer la réaction de bouleversement intérieur du policier, un long effet de Transtrav est appliqué vers son visage. Résultat saisissant et presque plus fort que celui d'Hitchcock, dans la mesure où à l'époque, le Maître du suspense avait exploité finalement un effet de vertige déjà naturel que l'on peut ressentir lorsqu'on regarde un escalier en contrebas, depuis son sommet. Ici, dans les dents de la Mer, Spielberg a voulu rendre hommage à son maître en appliquant le Transtrav à partir d'un simple plan de visage cadré en plan moyen. Le résultat est spectaculaire.

On peut trouver ces 2 exemples (sans le son) ici

Et l'effet de Transtrav chez Spielberg (avec son) ici

Toute la scène découpée ici avec le fameux plan de Transtrav

Brian de Palma (le plus pasticheur de Sir Hitchcock) et même Ridley Scott (les Duellistes) ont également exploité le Transtrav. Dans les années 90, avec la démocratisation croissante des films d'épouvante et des clips vidéo, le Transtrav est devenu un "effet spécial" très utilisé dont les réalisateurs débutants usent et parfois, abusent.

Le lipdub consiste à chanter en playback une chanson généralement très connue. Triple particularité du lipdub, les interprètes en playback sont filmés (à la différence du Karaoké), le procédé cinématographique utilisé est généralement le plan-séquence (avec une tolérance pour quelques raccords astucieux) et les chanteurs sont filmés dans une entreprise car le Lipdub a trouvé ses lettres de noblesse dans les entreprises, parfois dans un esprit authentiquement ludique, parfois comme outil de communication et souvent les deux !

Les autres réponses n'étaient pas recevables.

Un des meilleurs lipdubs que nous avons repérés est celui d'un membre du Forum de magazinevideo. Sur la chanson I Gotta Feeling de Black Eyed Peas, coffit2010 (c'est son pseudo) a réussi un plan-séquence de 4 minutes aussi bien synchronisé que filmé pour IT Technologies. Il n'a pourtant utilisé qu'un Panasonic SD NV-GS250 et un steadicam de fabrication maison (on jurerait un vrai !). Monté sur Pinnacle Studio 12.

Le montage parallèle, parfois dénommé à tort selon certains, "montage alterné", est un type de montage menant de front plusieurs actions alternées (ou parallèles donc). L'un des plus célèbres est celui de David Griffith dans Intolérance (1916) qui mêle sur ce principe quatre récits situés à des époques différentes.

Certains spécialistes du cinéma (enseignants, critiques, réalisateurs) discernent toutefois les deux termes "parallèle "et "alterné", qui renvoient selon eux à des notions différentes. Ils voient dans le montage parallèle la juxtaposition de deux situations que le réalisateur alterne sans qu'elle se déroulent de façon simultanée, ni dans le même espace géographique, et/ou sans qu'elles n'aient de rapport de causalité. A l'inverse, on discerne dans le montage alterné deux situations dans lesquelles les protagonistes exercent une action simultanée qui se déroule dans le même espace géographique, d'ailleurs les protagonistes se rejoignent à la fin de l'alternance : le cas typique est celui d'une course poursuite entre un policier/justicier et un malfrat où l'on voit successivement le deux, sans jamais les voir ensemble. On trouve aussi le cas d'une personne cherchant à attraper son train où l'on voit tour à tour la personne en train de courir et le train qui arrive en gare. Une différence à la fois lexicale et sémantique, laissée au libre choix de chacun. Ce qui complique la différence entre alternée et parallèle et rend la distinction contestable, est que certains exemples puisés dans le cinéma sont à la lisière des deux acceptions.

Les autres réponses étaient improbables :

-Le montage à la volée est une technique consistant à capturer des scènes en plaçant le camescope en lecture en veillant à ne déclencher la copie du rush que lorsqu'une scène paraît intéressante. On coupe ainsi dès la capture les plans que l'on souhaite conserver.

-Le montage cut est un montage sans effets ni transitions.

-Le montage en bout à bout est le fait de rassembler les rushes et de les "coller" les uns derrière les autres, quasiment sans coupe ou avec de très légères coupes au début et à la fin.

Ce coréen né en 1932, mort en 2006, est bien le maître incontesté du vidéo-art, au moins autant par son influence que par son caractère précurseur. Nam June Paik est en effet le premier à propos duquel on a commencé à parler de vidéo-art, dès le début des années soixante. Le grand-public connaît de lui ses concaténations de tubes cathodiques qu'il place autour de sculptures classiques.

Les autres réponses s'éliminaient d'elles-mêmes.

Le running gag, littéralement "gag qui court" est bien celui de la répétition, du gag récurrent, du gag qui se répète, de la même façon ou d'une façon légèrement différente, provoquant le rire. Parmi les comiques qui en ont été les illustres ambassadeurs, on peut citer Charlie Chaplin car le running gag se prêtait bien au cinéma muet mais aussi Benny Hill, voire Louis de Funès ou encore Pierre Richard.

C'est bien le Festival International du Film à la con qui existe vraiment, festival qui vient d'ailleurs de fêter sa 6e édition. Il se déroule à Thônes (74) et est organisé par l'association label vie dange (jeu de mots). Inutile de vous décrire la thématique... :-). Les autres réponses n'étaient pas recevables, soit parce qu'ils n'avaient jamais existé officiellement, soit parce qu'ils n'existaient pas en France en 2010 comme la question le précisait.

L'éclairage en "contre", appellation un peu familière, désigne l'éclairage en contre-jour. On éclaire donc le dos du sujet, la source lumineuse étant située derrière lui. L'effet produit est celui de créer un halo brillant autour du sujet, surtout lorsqu'il s'agit de faire ressortir la chevelure d'un modèle. Cet éclairage reste délicat à réaliser car il présente un risque de sous-exposition. Un éclairage complémentaire (placé de face, de 3/4) pourra y remédier.

11 !

La réponse ne figurait pas dans les 4 propositions, nous nous en expliquons ci-après. La Corde est un des thrillers les moins connus du grand-public mais c'est l'un des films hitchcockiens parmi les plus réputés auprès des techniciens, étudiants en cinéma et metteurs en scène de théâtre, car il se compose d'un nombre de plans tournés extrêmement réduit : 1 seul en apparence, en réalité 11 en tout et pour tout. Ces 11 plans sont réunis en 1 seul par des raccords de montage (tantôt ostensibles, tantôt masqués), ce qui fait croire que la Corde n'est qu'un unique plan-séquence de 77 minutes ! C'est bien 11 et non pas 8 plans dont est composé la Corde. Explication de l'embrouillamini : les bobines durent 10 minutes, et Hitchcock a tourné ses scènes comme une pièce de théâtre, on pouvait donc croire que 8 bobines avaient été requises pour réaliser ce film de 77 minutes. Du reste, certaines sources (certes peu nombreuses) font état de 8 plans. Mais le découpage final a bien produit 11 plans au total et non 8 ou même 1 seul comme on le lit parfois.

La Corde a été tourné en 1948.

La question était assez difficile car à première vue, le Steadicam du génial opérateur de prise de vues Garrett Brown a connu ses heures de gloire dans le film The Shining (Shining en français) de Stanley Kubrick (1980). Impossible en effet de ne pas se souvenir de ce long travelling marché de Jack poursuivant son fils dans le labyrinthe enneigé des jardins de l'hôtel Overlook.

En fait, trois autres films - et non des moindres - ont eu recours à une utilisation moins connue du Steadicam. Il s'agit de :

-En route pour la gloire (Bound for Glory, sorti aux USA le 5 décembre 1976) de Hal Ashby,

-Marathon Man de John Schlesinger (sorti aux USA le 8 octobre 1976),

-et Rocky de John G. Avildsen (sorti aux USA le 1er décembre 1976).

Marathon Man est le premier film "steadicamé" si l'on s'en tient à la date de sortie de ce film au cinéma : en effet les spectateurs américains ont pu voir le film dès le mois d'octobre 1976. L'utilisation du Steadicam s'est cantonnée à quelques plans de course.

Rocky suit sur la lancée deux mois plus tard, en décembre 1976. Marathon Man - sans jeu de mots - a donc couru plus vite puisqu'il est sorti deux mois plus tôt. C'est la raison pour laquelle nous n'avons pas accepté la réponse "Rocky".

En revanche, nous avons accepté également En route pour la Gloire, bien que le film de Hal Ashby soit sorti en salle après les deux autres. La raison est simple : le Steadicam a d'abord été utilisé sur le tournage de En Route pour la Gloire avant d'être exploité dans Marathon Man et Rocky. Il y a donc antériorité d'utilisation. De plus, le Steadicam a été mis à profit pour un plan-séquence de 4 minutes introduisant la vie du musicien Woody Guthrie interprété par le regretté David Carradine. On notera la coïncidence amusante que le Steadicam se soit illustré brillamment dans en route pour la Gloire, un film au titre prémonitoire pour l'invention de Garrett Brown !

On pouvait donc considérer que deux réponses étaient exactes pour déterminer le 1er long métrage à avoir utilisé un Steadicam :

-soit En route pour la Gloire au titre de la 1re utilisation.

-soit Marathon Man, au titre du 1er film sorti en salle, montrant des scènes réalisées au Steadicam.

Le nombre de concurrents ayant répondu correctement à toutes les questions (*) est de 4. C'est assez faible mais nous nous y attendions compte tenu qu'un quiz de 20 questions comportant 4 réponses possibles à chaque fois (au lieu de 3 habituellement), "écrème" beaucoup.

Pour s'approcher de la réponse, il fallait avoir un peu d'intuition et surtout connaître le fonctionnement des concours et si possible, un point de comparaison. Les quiz demandent aux répondants de réfléchir et surtout, de chercher les réponses. Cela requiert des efforts, voire une certaine opiniâtreté ! Conséquence, le nombre de répondants est au mieux de quelques centaines de participants pour les magazines papier, un peu moins pour les sites Web spécialisés. Ensuite la difficulté et le nombre relativement important de questions segmente beaucoup, et ne peut donner - au mieux - que quelques dizaines de gagnants ex aequo. Il fallait donc se limiter à un nombre à deux chiffres. Les plus perspicaces ont fait marcher leur intuition et ont senti qu'il y aurait peu de "20/20". Certains ont d'ailleurs répondu : aucun !

(*) hors questions subsidiaires, et sur 19/19 compte tenu que nous avons annulé la question 19.