Sony DCR-DVD403 / DCR-DVD203 / DCR-DVD202 / DCR-DVD92
Sony DCR-DVD403, Génération DVD
25 juin 2005 par Thierry Philippon
Le DCR-DVD 403 enregistre comme ses prédécesseurs
au format MPEG2 sur support DVD-R/-RW et maintenant +RW. Il s'agit de mini-DVD monoface ou (désormais)
double face de 8 cm au lieu de 12 habituel, d'une capacité de 1,4 Go ou 2,8 Go donc, La durée
diffère selon le mode de qualité choisi : 20 minutes en HQ, 30 minutes en SP et 60 minutes
en LP. Doublez cette durée pour des disques double face. L'enregistrement est "intuitif"
au sens où seul l'espace restant du disque est utilisé : ainsi vous ne risquez jamais
d'effacer d'anciennes images, à la différence de la K7. Un titre peut être inscrit
au départ, y compris sur les DVD non RW. Vidéo et photos cohabitent sans difficulté
sur un même disque.
2 modes d’enregistrement existent avec un
support DVD-RW : il s'agit des modes vidéo et VR (voir plus bas la différence). Le DVD
doit être finalisé. Attention, un DVD-R, même s'il reste de la place disponible sur
le disque, ne peut plus être réutilisé dès l'instant où on l'a finalisé
!
Quant au prix du support, la fourchette est très
variable : comptez en théorie environ 10 € le DVD-R 8 cm, jusqu'à 15 euros le DVD-RW
et un peu moins pour le DVD+RW 8 cm (particulièrement difficile à trouver). Heureusement,
des
packs attractifs de 5 DVD existent auprès des grandes enseignes permettant de réduire
fortement la facture.
Le disque de 8 cm s'introduit aisément par
le côté mais il faut dégager, au moins partiellement, la sangle, et ce,
à chaque fois. Le concurrent Hitachi n'endure pas cette contrainte, le disque s'insérant
et se retirant par le haut.
Le DVD403 se singularise par ailleurs par un son
multicanal 5.1 qui s'enregistre sans micro optionnel. Son petit frère, le DVD203, propose la
même chose mais en option. Et le DVD202 ne propose rien de ce genre. Il est moins léger
que d'autres modèles : 620 grammes au complet, soit 80 grammes de plus qu'un Sony HC90 par exemple
qui n'est pas un des plus légers. Bénéfice de ce poids, une meilleure stabilité
de principe.
Avec un disque DVD-RW, le DVD403 - comme ses petits
frères - dispose de 2 formats d'enregistrement. Le mode "Video" est le mode classique
qui assure la pleine compatibilité avec les lecteurs DVD de salon mais ne permet aucun montage
interne. A l'inverse, le second mode, nommé "VR", permet d'éditer les séquences
mais fait perdre toute compatibilité. Bien évidemment, ce choix ne s'offre que si vous
introduisez un disque DVD-RW, auquel cas vous devrez formater votre disque. Avec un simple disque DVD-R,
seul le format "vidéo" est accessible.
Avec un disque DVD-RW, offrant donc le choix entre
2 modes, Sony ne prend pas l'utilisateur en traître, l'avertissement du choix entre le format
Video ou VR figure en toutes lettres dans le Menu du camescope à l'endroit même du changement
de format !
Le DVD doit être finalisé, opération
qui requiert un certain temps (en général assez court, de l'ordre de 1' à 2'30''
si le disque est rempli) selon la durée que contient le disque et le mode choisi. C'est une contrainte
liée au format DVD-R. Sous certaines conditions de durée, le DVD+R n'a pas ce handicap
(sauf si l'on crée un menu d'authoring) mais refuse tout montage interne. La finalisation est
obligatoire si on veut relire immédiatement son DVD-R/-RW sur un lecteur de salon. Elle empêche
ensuite tout réenregistrement, même s'il reste de la place disponible ! Mais on ne pourra
pas dire que Sony ne prévient pas avec des message très clairs sur écran et un
système de double validation. Et si j'utilise un DVD-RW que je finalise, de quelle manière
je réenregistre dessus ? C'est très simple, à la réintroduction du DVD-RW
dans le camescope, ce dernier demande que le disque soit "définalisé". Cette
opération - très rapide - permet alors le réenregistrement. A noter que durant
les étapes de finalisation/définalisation, il faut mieux éviter toute vibration
de l'appareil.
En tout cas, cette étape de finalisation
nécessaire à tous les disques DVD-R/DVD-RW relativise le spot TV idéalisé
de Sony. Celui-ci montre en gros qu'il suffit de filmer, glisser le DVD dans n'importe quel lecteur
DVD miraculeusement compatible et en faire profiter instantanément tout l'entourage. Pas si simple
! D'autant qu'en réalité, et contrairement à ce que pourrait laisser croire le
spot pub, même un disque DVD+RW doit être finalisé si la durée enregistrée
est inférieure de 5 minutes en HQ (ou de 8 minutes en SP, etc.) ! C'est d'ailleurs mentionné
dans la notice, Sony a pris ces précautions.
Relativisons ce phénomène de finalisation.
N'oublions pas que le rembobinage d'une cassette DV de 60 minutes prend en général de
3 à 4 minutes. Les contraintes existent pour chaque support, finalement
Le DVD403 est muni d'un capteur de 3,3 millions
de pixels. C'est un vrai bond en avant en regard des gammes précédentes DVDCam qui se
contentaient au mieux d'une qualité mégapixel. La cible 1/3 pouce contribue à une
meilleure qualité globale. Grâce à ce capteur, la résolution du mode 16:9
et bien sûr du mode Photo (2016x1512) en profitent. La résolution annoncée flirte
avec les 530 points/ligne. Les couleurs sont flatteuses, le piqué, impressionnant pour du DVDCam
qui nous avait habitués à une qualité moindre. Le
capteur est servi par une belle optique Carl Zeiss comme à l'accoutumée (focales vidéo
: 5.1-51 mm), laquelle ouvre à f/1,8.
Les DVD203 et 202, qui ne sont "que"
mégapixels, ont une qualité d'image globalement identique côté vidéo
4:3 mais affichent une résolution photo moins bonne (limitée à 1152 x 864 pixels)
et un mode 16:9 non amélioré.
A noter le capuchon automatique qui s'ouvre et
se ferme selon qu'on utilise ou pas l'appareil. Au moins un qui ne pendouille pas !
Avec la batterie fournie (NP-FP70), l'autonomie
est de 55 minutes réelles environ avec écran, selon que le Backlight est placé
sur On ou Off. C'est honnête. Pour accroître son potentiel, on recense la batterie optionnelle NP-FP90, d'une autonomie de 105 à 110 minutes réelles avec écran
et coûtant 150 euros environ. Solution moins onéreuse, une seconde batterie équivalente à
la NP-FP70 à 50 euros environ.
Comme toujours chez Sony, on peut visualiser précisément
le temps d'autonomie restant ou de charge en cours. A noter : la charge nécessite 160 minutes... Le chargeur est intégré, il monopolise
donc le camescope durant la charge.
Le viseur couleur s'étire
mais il ne se relève plus, contrairement au DVD201 de 2004. Comme sur tous les mégapixels
Sony, on privilégiera l'écran tactile
16:9 de 2,7" (6,9 cm) et 123000 pixels. Ce format d'écran est judicieux de la part de Sony
car il incite à utiliser le mode 16:9, accessible d'un simple bouton sur le flanc du DVD403.
Ecran qui comporte le zoom (fixe) et le start/stop, facilitant la tenue de l'appareil. Par fort ensoleillement,
l'écran conserve ses limites de contraste mais reste visible grâce à son traitement
antireflet
La griffe porte-accessoires, qui n'a pas été
oubliée, permet d'y glisser un micro ou une torche. Elle est dite "intelligente", car
elle alimente l'accessoire en question.
L'éjection du DVD s'opère par le
dessus, ce qui est bien vu mais le retrait du DVD s'opère avec l'obligation de dégager
au moins partiellement la sangle-lanière, ce qui occasionne une contrainte pour l'utilisateur.
Hormis le Nightshot accessible depuis
la surface de l'appareil, le DVD403 a pris le parti, comme la totalité des modèles de
la gamme, de donner accès à tous les réglages, sans exception, par le Menu, via
l'écran tactile. Pas même de touche contre-jour ! Certes, on ne change pas de balance des
blancs à tout moment et l'exposition peut rester en Auto. Mais nous désapprouvons l'absence
de bague, ou à défaut de touche, pour la mise au point. La MAP manuelle est quasiment
inutilisable en tournage. Heureusement, l'Autofocus est rarement pris en défaut !a balance des blancs reste réglable
avec 4 positions.
Pas de carte mémoire de type Memory Stick puisque le DVD stocke tout avec une mémoire aussi importante qu'une carte de grande capacité. Le flash intégré, d'une portée de 30 cm à 2,5 mètres, peut adopter 3 puissances d'éclair. Il est aussi muni d'un anti-yeux rouges. DVD203/202 n'ont pas de flash.
Sony DVD403 en 2016 x 1512 pixels
APN 5 millions de pixels en 2048 x 1536 pixels
La résolution Photo du DVD 403 est prometteuse puisqu'elle peut aller jusqu'à 2016 x 1512 pixels (en 2 qualités Haute et Standard) au lieu des 1152 X 864 du prédécesseur DVD201. Du coup, le mode Photo peut stocker - sur un DVD-RW (un tout petit moins sur un DVD-R) jusqu'à 850 vues en résolution maxi et jusqu'à 5400 vues en 640x480. Il est à noter que Sony a fait le choix - judicieux - de ne pas proposer de taille intermédiaire, jugée sans doute insuffisamment bonne en qualité et sans grand intérêt. La bonne résolution photo du DVD403 n'occulte pas l'éternelle faiblesse par rapport à un APN, comme en attestent ces images prises exactement au même endroit, à quelques secondes d'intervalle.
Les fonctionnalités Photo bénéficient aussi de divers raffinements dont un mode Bracketing (Dif Expo) permettant de choisir entre une même vue exposée avec 3 valeurs de diaphragme différentes, enregistrées à des intervalles d'environ 0,5 sec. Le mode Photo est toujours en 4:3, comme partout.
3 qualités d'enregistrement sont donc disponibles comme sur le DVD201. Elles ont une conséquence directe sur la durée enregistrable qui peut être multipliée par 3 sur un disque DVD mono-face. Agrandissez ces images et vous serez mieux fixé. Notre conclusion : sans contestation possible, la différence entre les modes HQ et LP est bien réelle et assez criante (le LP correspond à environ 300 points/ligne, le HQ environ 500 et le SP environ 450). en revanche, entre les modes HQ et SP, l'écart est un peu plus difficile à percevoir. Conclusion : on peut tourner en HQ, et à la rigueur en SP et porter ainsi la durée de 20 à 30 minutes dans une bonne qualité MPEG-2. En revanche, mieux vaut n'utiliser le mode LP qu'en cas d'absolue nécessité.
Le mode 16:9 est accessible depuis une touche située
sur le flanc gauche, donc directement accessible. Ce n'est pas un hasard. Le surplus de pixels du capteur
et l'écran 2,7 pouce conduisent à l'utiliser et à ne plus considérer ce
mode comme un gadget. D'autant que le mode 16:9 permet d'élargir un tout petit peu l'angle de
champ (de 45 mm à 42,8 mm). Cela profite aux paysages ou aux monuments. Il est difficile de voir
la perte de définition dans ce mode, bien qu'elle existe.
Dans une logique "DVD-Home Cinéma",
le DVD403 se singularise par un audio multicanal 5.1 qui s'enregistre sans micro optionnel. Deux voies
avant, 2 voies arrières, un caisson de graves, une voie centrale et le tour est joué !
Le rendu est très spectaculaire, évidemment à condition d'avoir une restitution
de type Home Cinéma. Attention, il existe une énooooorme différence entre le niveau
"Normal" et "Bas" que propose le Menu. Restez en normal sauf si vous souhaitez atténuer
très fortement le niveau sonore.
Le micro est situé sur le dessus. Le rendu
sonore du DVD403 est agréable, quoiqu'un peu grave parfois. L'appareil produit un bruit léger
(qui s'enregistre) à 3 niveaux : la rotation du disque d'une part, le toc du zoom d'autre part
et le zoom en lui-même enfin. Le premier bruit n'est évidemment pas maîtrisable (à
moins de rester sur l'option "Bas") mais reste plus ou moins discret, un peu comme un ronronnement.
Le second n'est pas discret mais est partiellement maîtrisable. Enfin, le bruit du 3e (le zoom
en lui-même) dépend de la vitesse à laquelle on l'utilise. Pas de prise casque mais la prise micro est bien
prévue.
Un zoom X10, extensible à x120 en numérique,
la raison l'a emporté sur la puissance du zoom. La progressivité du zoom est bonne pour balayer
l'ensemble des focales en 1,5 secondes seulement environ. Et en même temps assez lente pour se
prolonger durant 30 secondes (!) à sa vitesse minimale. Mais le zoom a tendance à aller
vite, il faut bien le maîtriser. De même, on constate le fameux "toc" du zoom
qui nécessite, là aussi, une certaine maîtrise pour l'éviter.
En mode vidéo 4:3, la focale minimale est
de 45-450 mm, ce qui est très moyen. Elle est meilleure en mode 16:9 : 42.8-495 mm (vous avez
bien lu, malgré le zoom X10). Et encore mieux en mode Photo : 37 - 370 mm. Diamètre filtre du
camescope : 30 mm.
Le même point de vue au zoom x10,
soit l'équivalent d'un 450 mm. Peu impressionnant mais suffisant pour un usage courant. De plus,
la stabilité du zoom numérique est optimisée par ce faible ratio.
Une rue... la nuit... Mode Auto, obturateur Auto sur Arrêt.
En mode Crépuscule...
En mode d'obturateur Auto sur Marche, le gain s'élève un peu mais l'image fourmille modérément. Si le même obturateur auto avait été placé sur Arrêt, il n'y aurait pas eu de différence visuelle car le diaphragme ajuste l'exposition mais cela ne se voit que si la luminosité est très forte.
Avec Nightshot, les tonalités verdâtres sont moins marquées qu'autrefois, ce qui rend ce mode éventuellement utilisable... On dispose aussi d'un mode Supernightshot Plus, qui fait appel à une vitesse d'obturation lente et un mode Color Slow Shutter qui conserve les couleurs mais fait également appel à une vitesse d'obturation (très) lente.
A chaque fois qu'une nouvelle séquence
- ou photo - est enregistrée, elle est matérialisée par une vignette, constituant
ainsi une "liste d'images". Ci-contre, voici comment s'afficheront vos séquences (sur
PC comme sur Mac) si vous optez pour la création de menus PC ou Mac. En cliquant sur une séquence,
on accède directement à celle-ci. L'indication du nombre de pages total (12 pages) et
la page en cours (2) permet un repérage facile.
Il existe plusieurs types de "montage".
Le premier, basique, avec deux variantes, s'opère dans le camescope à condition d'utiliser
un disque réenregistrable DVD-RW exclusivement et de solliciter le mode VR impérativement.
Dans la 1re variante, on peut simplement diviser les séquences ou les supprimer. Dans la 2e variante,
on peut se constituer des Play-List qui répertorient les miniatures des images fixes et des films
sélectionnés. Ainsi, lorsque vous montez ou supprimez des scènes dans la liste
de lecture, les scènes originales ne sont pas modifiées. Ces méthodes de réorganisation
des séquences restent bien sûr rudimentaires. Elles contraignent par ailleurs l'utilisateur
à relire son DVD sur le camescope et à n'utiliser que des platines de salon qui acceptent
le mode VR.
C'est le logiciel Picture Package - incompatible
Mac (*) - qui s'en charge. Il extraie les vidéos et convertit un fichier VOB en MPEG. Il peut
être ensuite reconnu par un logiciel comme Studio 9. Picture Package, logiciel dédié
Sony, regroupe en fait plusieurs outils. Les possibilités "d'édition" ont surtout
pour philosophie d'agrémenter l'interface du DVD (ajout de musiques prêtes à l'emploi
ou issues de votre bibliothèque personnelle, ajout de styles, possibilité de réaliser
un diaporama) et de faciliter la gravure sur le graveur du PC ou même sur celui du camescope.
Sans graver, l'export depuis Picture Package peut être stocké (temporairement ou pas) sur
le disque dur de votre PC.
(*) L 'incompatibilité Mac annoncée
par le fabricant pourrait laisser croire qu'il n'existe aucune solution alternative. En réalité,
on peut toujours récupérer les fichiers VOB du DVD, et ce quel que soit le système
d'exploitation utilisé. Par ailleurs comme on le voit ci-dessus, la lecture d'un mini-DVD sur
Mac permet d'afficher le menu du DVD sans logiciel spécifique.
Le logiciel Picture Package n'étant pas
un vrai logiciel d'édition vidéo, l'idée spontanée est de tenter de mettre
à profit son logiciel préféré habituel. Et c'est là que les choses
se corsent !
On se heurte à un problème complexe
: le DVD403 délivre un MPEG2 qui n'est pas directement reconnu par la plupart des logiciels de
montage. Il convient donc de repartir du (des) dossier(s) VOB présent (s) sur le DVD, les démultiplexer
(séparer la vidéo et l'audio), puis les convertir (en AVI ou MOV par exemple), enfin réunir
la vidéo et l'audio pour traiter les séquences à l'aide de son logiciel de montage
habituel. Pas franchement express ! L'essentiel : on y parvient, sur PC comme sur Mac. Il faut toutefois
d'une part, être très patient, le temps d'extraire les fichiers vidéo et d'autre
part, gérer, notamment sur PC, les embarrassants fichiers audio AC3 (extension de QuickTime)
présents dans le(s) dossier(s) VOB, après démultiplexage.
Sur PC, on peut s'appuyer sur un des rares logiciels
possibles comme Womble
MPEG Video Wizard (payant). Ce logiciel présente l'immense avantage de ne pas compresser
les vidéos. Sur Mac, on dispose du célèbre MacMPEG2Decoder pour convertir les fichiers
VOB et de mAC3.dec par exemple
pour l'audio. C'est un freeware très pratique, plus exactement un donateware, son prix ne dépend
donc que de votre générosité.
Sur Mac toujours : un aimable internaute nous signale
une solution plus rapide obtenue grâce au Freeware
MPEG Streamclip qui convertit dun seul coup lensemble dun fichier VOB en de très
nombreux formats au choix, QuickTime, DV, etc., formats alors directement utilisables pour un
montage dans iMovie, FinalCut Pro, iDVD, DVD Studio Pro, etc.
Pour être complet, signalons :
-que les camescopes DVD sont capables - via le
bouton "graver VCD" - de copier un VCD (pas un DVD) à partir d'un fichier présent
sur le disque dur, se servant ainsi du camescope comme graveur.
-qu'on peut utiliser l'entrée vidéo
analogique (rappel, pas de prise DV, ni en entrée ni en sortie) pour générer un
DVD (-RW ou +RW) sur le camescope, à partir d'une source analogique (8mm, Hi-8 par exemple).
L'opération est possible en s-vidéo, moyennant câble optionnel ou composite (câble
fourni).
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